La sénatrice Sophie Taillé-Polian a interpellé le ministre de l’Education nationale ce mercredi 24 mars, à propos du “tsunami de cas positifs dans les écoles du Val-de-Marne”.
La sénatrice Génération.s a évoqué les écoles où la réponse tester, isoler, tracer n’est pas assez réactive, entraînant de nombreux enseignants absents et non remplacés, ce qui implique un brassage encore plus important des élèves. La sénatrice a réclamé plus de remplaçants, ainsi qu’un renouvellement des masques.
En réponse, la secrétaire d’Etat à l’Education prioritaire, Nathalie Elimas, a assuré qu’il y avait bien des remplaçants, citant les 2 200 remplaçants dans le premier degré et 700 assistants d’éducation dans le second degré, au niveau national, et rappelant la campagne de tests salivaires en cours avec déjà 200 000 tests réalisés révélant un taux de positivité entre 0,3% et 0,5%. La secrétaire d’Etat a par ailleurs insisté sur la nécessité d’assurer la continuité pédagogique.
Voir l’échange vidéo, à 15h15
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Mensonge, mensonge, mensonge
5 enseignants absents (covid + ou cas contact) et non remplacés sur mon école.
Toutes les écoles sont à la même enseigne ; l’état se désengage de ses obligations.
Ce que l’on observe n’est pas du à la covid mais aux réductions drastiques au fil des années des budgets et donc du nombre de post.
Quant au test salivaire…
Encore une réponse équivalente à “Dormez tranquille”. Les test salivaires, moins sensibles que les test nano-pharingés n’ont une efficacité que si ils sont pratiqués fréquemment, la plus part des élèves testés ne l’ont été qu’une fois.
Quand à la demi jauge, son interprétation porterait à sourire, s’il n’y avait pas de risques sanitaires, quand elle se décline en une classe complète un jour sur deux ou 1/2 journée sur deux.
On a vraiment l’impression que ce sujet c’est Bricolo, Bricolette qui nous gouvernent.
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