Inondations en Val-de-Marne de 1930 à aujourd’hui en vidéo
Les hommes portaient un béret et les femmes un fichu mais les gestes sont restés les mêmes. Lors des inondations, on sort les barques et on rame. 1930, 1955, 1958, 1968…
Les hommes portaient un béret et les femmes un fichu mais les gestes sont restés les mêmes. Lors des inondations, on sort les barques et on rame. 1930, 1955, 1958, 1968…
La pluie n’a pas accordé de répit pour fêter la descente du premier tunnelier du Grand Paris Express ce samedi 3 février à Champigny-sur-Marne, mais même sous l’eau, la fête était belle. En images…
De nouvelles évacuations ont du intervenir en bord de Marne ce weekend. Les dernières pluies ont réalimenté la crue commencée fin janvier. Le Val-de-Marne fait toujours partie des 11 départements en vigilance orange inondation depuis deux semaines.
Dans une question écrite au gouvernement adressée en juillet dernier, Christian Cambon, Sénateur LR du Val-de-Marne questionnait le ministre de l’Education nationale sur les conditions de recrutement, parfois basées sur un simple entretien sans formation, des vacataires en collège et lycée dans l’académie de Créteil.
Alors que toutes les communes doivent se charger elles-mêmes de la gestion du stationnement automobile et de sa verbalisation depuis janvier 2018, Alfortville, qui a passé une DSP avec une filiale d’Indigo, Streeteo, a connu quelques déboires pour commencer l’année.
Un autocar de la mairie d’Alfortville qui transportait des élèves de maternelle en sortie scolaire a été percuté par un camion sur l’autoroute A4 au niveau de la Seine-et-Marne, n’ayant pas eu le temps de se ranger sur la bande d’arrêt d’urgence après une panne.
Alors que la ministre des Transports vient officiellement de rassurer les élus en leur écrivant noir sur blanc que le périmètre du Grand Paris Express serait bien conservé dans son intégralité, après l’annonce orale du Premier ministre vendredi dernier, c’est un symbole majeur de ce chantier du siècle qui sera fêté ce samedi à Champigny-sur-Marne…
Alors que les premières mesures de postes concernant la carte scolaire 2018 en Val-de-Marne suscitent des tensions, la directrice académique des services départementaux de l’Education nationale (Dasen), Guylène Mouquet-Burtin, donnait ce jeudi matin une conférence de presse pour motiver les choix de ce premier tableau. L’occasion d’aborder les différents points de crispation.
Encore un couac entre Saint-Maur-des-Fossés et les opérateurs du chantier Grand Paris Express. En cause : le passage d’un convoi exceptionnel après 23 heures ce mercredi et ce jeudi sur la RD86 du Pont de Créteil à Joinville, annoncé seulement dans l’après-midi de mercredi.
C’est le maire de la ville, Jean-Yves Le Bouillonnec, qui l’a annoncé ce matin. L’individu qui incendiait véhicules, scooters et poubelles depuis plusieurs mois à Cachan a été interpellé par la police nationale.
Les blocages d’écoles ont déjà commencé, avec la maternelle Jules Grévy d’Alfortville hier, qui refuse la fermeture d’une classe et sa perte de décharge de direction. Et ce matin, le CTSD, réunion lors de laquelle la direction académique doit discuter de la carte scolaire 2018 avec les représentants du personnel, sera boycotté par les syndicats SNUDI-FO,…
124 classes supplémentaires en élémentaire, en comptant les classes nouvellement dédoublées en CP et CE1, et 60 classes de moins en maternelle. Tel est le bilan provisoire des mesures de carte scolaire prévues pour la rentrée 2018 dans le Val-de-Marne, en additionnant les mesures fermes et conditionnelles.
La future crèche départementale du Plessis-Trévise, d’une capacité de 60 berceaux, ouvrira fin 2019 au 63 avenue Charles de Gaulle, et accueillera à la fois des bébés du Plessis (40 berceaux) et de Chennevières-sur-Marne (20 berceaux).
Une enquête publique parcellaire en vue de déterminer les parcelles ou droits réels immobiliers à exproprier pour réaliser la ligne 14 Sud du Grand Paris Express se tient du lundi 29 janvier