Une exposition retraçant une cartographie intéractive de la jeunesse Chevillaise.
L'artiste Samantha Maurin a mené des créations contextuelles, partagées avec des habitant.e.s, usager.e.s des espaces publics et des différentes structures présentes sur le territoire.
Revenir au pixel. À l’irréductible que l’on a toustes en commun. Des milliers de petites briques élémentaires pour broder l’autoportrait d’une jeunesse plurielle. Des silhouettes attachées à leurs smartphones nous guident dans un espace recomposé où l’intimité d’un lit-cabane cohabite avec la sociabilité d’une chaise de camping. Le flow et la forêt. Un vocabulaire qui emprunte ses motifs ici et ailleurs, qui puise dans ces gestes dont on se souvient peut-être. Avec le fil, l’aiguille et le son, les chemins se rapprochent mais ne se croisent pas forcément. Une cartographie sonore et brodée par écrans interposés.
L’organisateur est : La maison des arts plastiques Rosa Bonheur
