Jeu est un terme fort inexact, mais c’est ainsi que Paul désignait la demi-conscience où les enfants se plongent ; il y était passé maître. Il dominait l’espace et le temps ; il amorçait des rêves, les combinait avec la réalité, savait vivre entre chien en loup (…).
Jean Cocteau, Les Enfants terribles, 1950
“Clin d’œil au roman éponyme de Jean Cocteau, le Centre culturel inaugure le 6 février (17h-22h) Les Enfants terribles, deuxième chapitre de sa Grande saison d’art contemporain. Cette exposition réunit treize artistes et les archives du Centre Familial des Jeunes, foyer d’accueil de jeunes dont la devise était “la prison, c’est dehors”, pour continuer à interroger collectivement ce que signifie être ou devenir grand·e.”
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