1 milliard d’euros d’investissement ont été votés pour la ligne 15 Sud en 2018, à l’occasion du Conseil de Surveillance de la Société du Grand Paris (SGP) qui décidait ce vendredi 1er décembre de son budget pour l’année 2018.
Il y a quelques semaines, les déclarations des maires différaient quelque peu d’une ville à l’autre, entre les défenseurs des territoires et ceux qui considéraient qu’ils ne servent à rien.
“A la politique du coup par coup doit se substituer une politique d’ensemble de tous les transports parisiens“, mettait en garde l’Apur en conclusion de son rapport sur un projet d’autoroute Nord-Sud dans Paris intramuros, en 1971,
Stéphanie Daumin, maire PCF de Chevilly-Larue, a été élue à l’unanimité ce 8 novembre présidente du groupe Front de Gauche et Citoyens de la Métropole du Grand Paris.
Le Conseil départemental du Val-de-Marne poursuit sa mobilisation contre son éventuelle suppression dans le cadre de l’évolution de la métropole parisienne.
Alors qu’une nouvelle mouture de la métropole parisienne se prépare dans les coulisses, qui pourrait voir la suppression des départements de petite couronne, et que le Conseil départemental du Val-de-Marne a lancé une campagne de défense de l’échelon départemental,
Après s’être mobilisés des années en faveur d’un métro reliant les villes du Val-de-Marne, concrétisé par la ligne 15 du Grand Paris Express, les membres de l’association Orbival, qui réunit des élus de tout bord du département avec pour seul objectif le développement des transports publics, ne veulent pas que la montagne accouche d’une souris.
“Le territoire ne sert à rien. Il coûte juste plus cher pour marcher moins bien! ” Au moins le message a-t-il le mérite d’être clair. Ce n’est pas à Jean-Philippe Gautrais, maire FG de Fontenay-sous-Bois, qu’il faudra demander de défendre la pertinence de l’échelon EPT,
Alors que les nouveaux territoires du Grand Paris doivent décider d’ici fin décembre 2017 s’ils ré-adhèrent ou non définitivement au Sedif, le syndicat intercommunal en charge de la gestion de l’eau potable de pas moins de 150 communes et 4,5 millions d’habitants de la région, trois d’entre eux, dont un dans le Val-de-Marne, ont négocié…
Inquiet d’une potentielle suppression des trois départements de petite couronne, le Conseil départemental du Val-de-Marne vient de lancer une pétition en ligne contre sa disparition.
Au lendemain des élections régionales de décembre 2015, le Val-de-Marne s’était retrouvé le parent pauvre de l’exécutif, avec avec seulement une vice-présidente en 12 ème position, Marie-Carole Ciuntu, et un conseiller délégué, Laurent Lafon. Remanié ce 18 octobre suite aux élections sénatoriales, l’exécutif a ouvert la porte aux élus du département, avec des délégations importantes.
Suite aux élections sénatoriales qui ont conduit au départ de plusieurs conseillers régionaux délégués ou vice-présidents, le Conseil régional d’Ile-de-France a procédé à son remaniement ce mercredi 18 octobre 2017.