Projets urbains

Urbanisme | Villiers-le-Bel | 03/10/2023
À Villiers-le-Bel, les “vieux campeurs” défendent les terres du Triangle de Gonesse © VVVCFFrance WCC

À Villiers-le-Bel, les “vieux campeurs” défendent les terres du Triangle de Gonesse

À Villiers-le-Bel, pour dénoncer l’artificialisation des terres agricoles du Triangle de Gonesse, où doivent être bâties une gare et une cité scolaire, une quinzaine de “vieux campeurs” se sont munis de tentes et de chaises pliantes, et ont établi la ZIAC, leur “zone d’imagination pour un aménagement concerté“.

Urbanisme | Villiers-sur-Marne | 12/09/2023
À Villiers-sur-Marne, des élus d’opposition remettent en question la gare d’interconnexion entre la 15 et le RER E, et le projet Marne Europe

À Villiers-sur-Marne, des élus d’opposition remettent en question la gare d’interconnexion entre la 15 et le RER E, et le projet Marne Europe

Alors que la gare d’interconnexion entre la ligne 15 sud du métro Grand Paris Express et les lignes E et P du RER doit être finalisée en 2027, trois élus de l’opposition de gauche villiéraine, Frédéric Massot, Quentin Maleine et Yasmina Benbelkacem, appellent dans une tribune à remettre le projet en question, l’estimant trop coûteux.…

Cinéma | Val-de-Marne | 06/06/2023
Axa rachète les studios de Bry-sur-Marne à Nexity

Axa rachète les studios de Bry-sur-Marne à Nexity

Le fonds Axa Investment Managers (AXA IM) a annoncé ce lundi racheter à l’opérateur Nexity ses 12 hectares de foncier entre Bry-sur-Marne et Villiers-sur-Marne, qui accueillent notamment les mythiques studios de Bry. Et cette fois, l’objectif n’est plus de construire des logements, mais bien de faire du cinéma !

Environnement | Paris | 22/05/2023
Est parisien : le projet de crématorium porte de la Villette ne passe toujours pas

Est parisien : le projet de crématorium porte de la Villette ne passe toujours pas

Annoncé depuis 2018, le projet de construction d’un crématorium à la place du square Forceval rencontre une forte opposition de collectifs de riverains parisiens, pantinois et albertivillariens. Dans ce quartier déjà marqué par le trafic de crack, les opposants demandent l’implantation d’un lieu de vie plutôt que des “symboles de mort”.