Reconnu coupable de 13 viols et 4 agressions sexuelles, Salim Berrada a pris plus cher en appel qu’à son procès initial. Celui qui a été surnommé “le violeur de Tinder” a été condamné à la peine maximale de 20 ans de réclusion, contre 18 ans en première instance.
Une peine de 18 ans de réclusion criminelle a été requise mardi devant la cour d’assises d’appel du Val-de-Marne à l’encontre de Salim Berrada, “le violeur de Tinder” accusé de viols et agressions sexuelles par 17 femmes.
Un shot de vodka caramel, les jambes qui ne répondent plus, un traumatisme “à vie”. Des 17 femmes qui se sont constituées parties civiles dans le procès en appel du “violeur de Tinder”, Camille (prénom modifié) est la première à avoir témoigné devant les assises, vendredi à Créteil.
Le procès en appel de celui que les médias ont surnommé le “violeur de Tinder”, Salim Berrada, s’est ouvert mardi à Créteil, un an et demi après sa condamnation à 18 ans de réclusion pour avoir violé ou agressé sexuellement 15 femmes rencontrées en ligne.
L’agression dénoncée par le maire (DVG) de Stains, Azzédine Taïbi devant son domicile, dimanche dernier, vire à l’affrontement politique sur fond d’élections municipales 2026. Le mis en cause, Salim Smaïli, un artiste stanois, a décidé de répondre, à visage découvert, aux accusations de menaces et d’insultes.
“Connard, de toute façon, tu fais que de la merde, tu ne sers à rien…” Maire depuis 2014 de Stains, Azzédine Taïbi a été insulté et menacé dimanche devant son domicile, en présence de son fils mineur. Il a porté plainte, déplorant une montée en puissance des intimidations et des agressions envers les élus.
Violée parce que juive : le tribunal pour enfants de Nanterre a condamné vendredi à neuf ans et sept ans de prison ferme deux mineurs pour le viol à caractère antisémite d’une fille de 12 ans à Courbevoie, près de Paris, en 2024.
Des peines allant jusqu’à trois ans de prison avec sursis ont été requises jeudi contre les trois anciens hauts cadres d’Ubisoft accusés de harcèlement sexuel ou moral.
“connasse”, “laideron”, “salope”, “morue” Autant de petits noms sympas qu’affectionnait Thomas François, alias Tommy, pour désigner ses collègues femmes. Cet adepte, aussi, du ligotage sur une chaise ou du jeu “chat bite”, ex-cadre dirigeant d’Ubisoft, comparaît au tribunal de Bobigny à partir de ce lundi, avec deux collègues. Un soulagement pour les victime qui regrettent…
Dix-huit ans de réclusion criminelle ont été requis jeudi à l’encontre d’un tatoueur de 39 ans, jugé devant la cour criminelle départementale de Seine-Saint-Denis pour viols et agressions sexuelles sur neuf clientes de son salon.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris a annulé lundi tous les procès-verbaux d’audition du comédien Philippe Caubère, mis en examen pour viols et agressions sexuelles sur mineures, en raison d’un “comportement déloyal” des enquêteurs qui l’ont interrogé, a appris l’AFP mercredi d’une source proche du dossier.
Un plan de prévention et de lutte contre le port et l’usage des armes blanches par les mineurs dans l’agglomération parisienne, articulé autour des établissements scolaires et des armureries, a été présenté mardi par le préfet de police Laurent Nuñez.
Un jeune majeur soupçonné d’avoir blessé mardi à l’arme blanche un lycéen de 17 ans dans la cour de son établissement à Bagneux (Hauts-de-Seine) a été incarcéré et sera jugé le 20 mars, a indiqué jeudi soir à l’AFP le parquet de Nanterre.
Une professeure de sport d’un lycée de Montreuil (Seine-Saint-Denis) a été giflée mardi par une élève pour lui avoir demandé de retirer sa tenue “à connotation religieuse”, a indiqué vendredi le rectorat à l’AFP, confirmant une information de BFMTV.