Le député LFI Louis Boyard dépose jeudi sur le site de l’Assemblée nationale une pétition pour généraliser le repas à un euro dans les restaurants universitaires alors que, qu’une étude de l’Ifop pour l’association Cop1 indique que 18% des étudiants recourent à l’aide alimentaire, et que plus d’un quart disposent d’un reste à vivre de…
Comme chaque année, le diocèse de Créteil organise une aide alimentaire d’été dans le Val-de-Marne, conjointement avec les fidèles de la mosquée de Créteil, pour compenser la fermeture estivale de certaines associations caritatives. Alors que les Jeux olympiques battent leur plein, le diocèse a aussi ouvert des lieux d’accueil pour “ne pas oublier les plus…
À l’épicerie ukrainienne la Datcha de la Marne, à Nogent-sur-Marne, la vie de Luba Kharchenko, la gérante, a basculé lors de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Depuis février 2022, elle consacre toute son énergie disponible à collecter des dons, les faire acheminer, aider les réfugiés. Mais, après deux ans de conflit, la générosité s’érode…
Plus vite, plus haut, plus fort. Telle est la devise lancée en 1891 par le père dominicain Henri Didon, proviseur d’un collège d’Arcueil, et grand ami de Pierre de Coubertin. Les JO l’ont fait sienne à Athènes, en 1896. Un clin d’œil local rappelé dans ses vœux par l’évêque de Créteil, Dominique Blanchet, ce mercredi…
Dans le cadre du programme national de lutte contre la précarité alimentaire, une enveloppe de 3,7 millions d’euros par an, sur trois ans, a été globalement allouée à 34 projets en Ile-de-France. En Seine-Saint-Denis, six projets ont été retenus. Détails.
Dans le cadre du programme national de lutte contre la précarité alimentaire, une enveloppe de 3,7 millions d’euros par an, sur trois ans, a été globalement allouée à 34 projets en Ile-de-France. En Val-de-Marne, cinq projets ont été retenus. Détails.
Distributions alimentaires, récupération d’invendus, restaurant de quartier, ateliers cuisine, lutte contre le gaspillage… 12 projets de lutte contre la précarité alimentaires des étudiants, portés par des associations dans 13 arrondissements, ont été retenus par la ville de Paris et dotés au total de 345 000 euros.
Dans ce qui fut autrefois une allée marchande, entre la cité Henri Sellier et la RD6 à Villeneuve-Saint-Georges, tous les rideaux de fer sont baissés, sauf un, celui d’une des 21 antennes des Restos du Cœur du Val-de-Marne. Ici, il y a de la lumière, de la chaleur, et à manger. Un îlot de fraternité.
La préfecture de Seine-Saint-Denis a activé le plan Grand froid dans le département ce lundi 12 décembre, alors que les prévisions météo annoncent des -5 à -8 degrés ressentis. Outre la mobilisation de l’Etat, quatre communes ont mis à disposition 155 nouvelles places d’urgence assorties d’une aide alimentaire.
Avec le lancement de la 38ᵉ campagne des Restos du cœur, la plateforme logistique de Rungis de l’association, qui approvisionne plusieurs départements, se prépare à une forte demande. Ces trois dernières années, le nombre de repas préparés est passé de 7,5 à 11 millions (+46 %). L’association a besoin d’espace et de bénévoles.
Saint-Maur entreprendre fait sa rentrée et s’attaque à la communication numérique. Vitawin lance ses afterwork. Le Min de Rungis planche sur le bien manger pour tous. Forums emploi, les 40 ans des missions locales à Fontenay, le Face fête ses dix ans, rendez-vous thématiques, salon des métiers d’art, fête des entrepreneurs…
Aller vers les personnes précaires qui n’oseraient pas pousser la porte d’un centre de distribution alimentaire et engager une relation d’aide plus durable, tel est l’enjeu du Restaurue, le food-truck de la Croix Rouge qui s’apprête à sillonner les routes du Val-de-Marne.
Alors que le nombre de bénéficiaires d’aide alimentaire en Île-de-France continue d’augmenter et que le plan de relance s’achève, les associations de solidarité doivent désormais affronter l’inflation. Une véritable quadrature du cercle. Rencontre avec les associations du Val-de-Marne.
L’association De la rue à la scène, qui aide les sans abris et précaires, occupait depuis l’été 2020 des locaux municipaux au centre Jeanne-Hachette, sans droits ni titre. Elle en a été expulsée ce jeudi matin par la police. Son directeur, Yves Pontonnier dénonce “une expédition punitive” tandis que la ville regrette l’absence de coopération…