Onze personnes soupçonnées d’avoir participé à un trafic international de cocaïne entre l’Amérique du sud et l’Australie pour le compte du Colombien El Flaco, via un voilier de pavillon français, sont jugées à partir de lundi devant la cour d’assises de Paris.
Leurs lourdes peines en première instance avaient marqué les esprits: quatre Nigérians, dont “un infirmier” avorteur, condamnés de 10 à 19 ans de réclusion pour traite d’êtres humains et proxénétisme aggravés en bande organisée, sont jugés en appel depuis mardi en appel à Créteil.
Ils avaient été condamnés à sept ans de réclusion pour le viol en 2014 d’une touriste canadienne au siège de la PJ parisienne au 36, quai des Orfèvres: deux anciens policiers sont rejugés en appel aux assises du Val-de-Marne à partir de mardi.
Le procès en appel de deux anciens policiers accusés du viol d’une touriste canadienne dans les locaux de la police judiciaire de Paris se tiendra devant la Cour d’assises du Val-de-Marne du 22 juin au 9 juillet.
Thibaud G. a été condamné jeudi à 20 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises de Paris pour l’incendie volontaire en 2015 de l’immeuble du 4 de la rue Myrha, qui s’était soldé par la mort de huit personnes.
Deux ans de prison ferme ont été requis jeudi contre un ancien dirigeant de l’entreprise française qui possède la Maison du Caviar, Cyril de Lalagade, soupçonné de s’être servi dans les caisses de la société alors présidée par sa grand-mère nonagénaire.
Fin de partie judiciaire pour Antonio Ferrara. Le roi de la belle n’aura plus besoin de chercher de nouveau stratagème pour s’échapper de prison comme il l’avait déjà fait à deux reprises, qui vient d’être acquitté au terme d’un procès en appel.
Alors que l’avocat général a requis hier dix à douze ans de prison pour Antonio Ferrara, ses avocats ont dénoncé ce matin devant la cour d’assises de Paris une enquête bâclée et des charges selon eux insuffisantes pour condamner leur client pour le braquage du bureau de poste de Joinville-le-Pont (Val-de-Marne) le 28 juillet 1999.
Le parquet général a requis mardi entre dix et douze ans de réclusion criminelle devant la cour d’assises de Paris à l’encontre d’Antonio Ferrara, pour le braquage du bureau de poste de Joinville-le-Pont (Val-de-Marne) en juillet 1999.
Le procès en appel d’Antonio Ferrara, surnommé “le roi de la belle” pour s’être évadé deux fois, et d’un complice présumé, Issa Traoré, s’est ouvert ce matin devant la cour d’assises de Paris pour le braquage du bureau de poste de Joinville-le-Pont (Val-de-Marne) en juillet 1999.