Une semaine après le président de la République, c’est au tour de la secrétaire d’État auprès du ministère des Solidarités et de la Santé, Christelle Dubos, de participer à une maraude auprès des sans-abris ce mercredi soir. Elle va d’abord visiter les locaux du Samu social et le CHUM d’Ivry-sur-Seine.
Depuis un peu plus d’un an maintenant, femmes isolées, familles et couples de réfugiés sont accueillis dans le centre d’hébergement d’urgence d’Ivry-sur-Seine. 2000 personnes ont déjà été accueillies.
Alors que la loi Asile et Immigration arrive au menu du Conseil des ministres ce mercredi, Olivier Faure, député PS candidat à la tête du parti, a passé une après-midi au centre d’hébergement d’urgence pour migrants d’Ivry-sur-Seine, géré par Emmaüs solidarité pour le compte de l’État et de la ville de Paris, ce vendredi 16 février.
Voilà une opération réussie. Samedi dernier, le speed-dating organisé par Emmaüs solidarité, en charge de la gestion du centre d’hébergement d’urgence pour migrants d’Ivry-sur-Seine, et la commune, a permis de recruter 137 bénévoles qui viendront aider, sur des aspects variés, le fonctionnement quotidien du centre.
Welcome, bienvenue… En guise de première initiative pour accompagner les migrants du centre d’accueil d’Ivry-sur-Seine, c’est une large banderole que les riverains ont concocté ce samedi matin, réunis à une trentaine de bon matin dans le cadre du collectif du Port à l’Anglais, à Vitry-sur-Seine.
Le centre d’hébergement d’urgence de migrants de 400 places d’Ivry-sur-Seine destiné aux familles, aux femmes enceintes et aux femmes isolées, développé par l’Etat et la ville de Paris avec l’accord de la commune d’Ivry, ouvrira le 19 ou le 20 janvier. L’achèvement des travaux est prévu le 16 janvier.
Il fallait se frayer un chemin au milieu des habitants assis par terre entre les rangées bondées de la salle du conseil municipal de la mairie d’Ivry pour assister ce lundi 10 octobre à la réunion publique sur le projet de centre d’accueil de réfugiés qui doit accueillir 350 à 400 personnes d’ici janvier 2017.
2083 personnes, essentiellement originaires du Soudan, d’Erythrée et d’Afghanistan, qui s’étaient installées près du quai de Jemmapes, au niveau de la station Stalingrad à Paris, ont été évacuées ce vendredi 16 septembre en début de matinée, emmenées en car dans une soixantaine de centres d’accueil improvisés. En Val-de-Marne, 231 personnes ont été accueillies à Cachan, Ivry-sur-Seine, Fontenay-sous-Bois, Thiais…
Alors qu’Ivry-sur-Seine doit accueillir d’ici la fin de l’année un centre d’accueil pour réfugiés de 350 personnes, le sénateur-maire LR de Saint-Maurice, Christian Cambon, vient de déposer une question au gouvernement pour lui demander de renoncer.
Controversé, le projet de centre d’accueil de réfugiés à Ivry-sur-Seine, qui doit accueillir 350 familles et femmes seules d’ici la fin de l’année, a le soutien du MRAP (mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples).
Mardi, la maire de Paris a annoncé la création de “camps de réfugiés” de respectivement 400 et 350 places dans le 18e arrondissement et à Ivry-sur-Seine d’ici à la fin de l’année 2016, cofinancés par l’Etat et Paris. La nouvelle a suscité de nombreuses réactions, contrastées, et beaucoup d’interrogations. Maire PCF d’Ivry, Philippe Bouyssou réagit. Entretien.
Depuis l’annonce ce mardi de l’installation d’un camp de réfugiés de 350 personnes à Ivry-sur-Seine d’ici la fin 2016, les réactions pleuvent, du côté des habitants comme des élus, majoritairement inquiètes.
Afin d’accueillir les réfugiés qui arrivent de Syrie, Érythrée, Irak, Afghanistan… avant qu’ils ne s’établissent dans différents petits squats et campements ou partent rejoindre Calais