Identification, répression, prévention, sécurisation, réaffirmation des valeurs républicaines… après le légitime temps de l’émotion, quelles réponses politiques apporter aux attentats meurtriers de cette seconde semaine de janvier 2015 ? Quelques suggestions à chaud de parlementaires val de marnais.
C’est dans le quartier pavillonnaire de la rue Eugène Varlin de Champigny-sur-Marne que la première maternelle musulmane d’inspiration Montessori d’Ile de France, l’Olivier des enfants, est en train de voir le jour, après le lancement d’ateliers depuis septembre 2014.
Laurent Jeanne, chef de file de l’opposition UMP à Champigny-sur-Marne, réagit à son tour aux révélations concernant un jeune djihadiste de Champigny-sur-Marne. L’élu s’y oppose au passage au vote d’un voeu contre la reconnaissance d’un Etat palestinien qui doit être présenté en Conseil municipal le 26 novembre.
Le djihadiste français Mickael Dos Santos, originaire de Champigny-sur-Marne, a démenti formellement sur Twitter sa présence sur la vidéo publié le 16 novembre par l’Etat islamique (EI) mettant en scène une série de décapitations de soldats syriens. Selon plusieurs médias, les experts doutent désormais de l’identité du combattant présenté comme étant Mickael Dos Santos.
(voir les derniers rebondissements sur cette affaire) Suite à l’identification d’un jeune Campinois, Mickaël Dos Santos, sur une vidéo de l’Etat Islamique mettant en scène la décapitation de soldats syriens, le PS de Champigny-sur-Marne réagit dans un communiqué et appelle le maire à mettre en place un dispositif local de sensibilisation des jeunes en lien avec…
(voir les derniers rebondissements sur cette affaire) Alors qu’un jeune homme de Champigny-sur-Marne, Mickaël Dos Santos, a été formellement identifié par sa mère comme faisant partie des djihadistes filmés par l’Etat islamique en train de décapiter des soldats syriens, dans une vidéo postée sur Internet le 16 novembre, le maire de Champigny réagit dans un…
(voir les derniers rebondissements sur cette affaire) Formellement identifié par sa mère, le second Français apparaissant à visage découvert sur la vidéo du 16 novembre de l’Etat islamique mettant en scène une séance de décapitation de soldats syriens, a passé toute sa jeunesse à Champigny-sur-Marne.