Coup de filet inattendu dans le quartier de la Source à Créteil. Des policiers ont découvert 25 kg de résine de cannabis, 7 kg d’herbe, une arme de poing et une boite de cartouche dans un appartement. Deux hommes ont attiré l’attention des agents alors qu’ils tentaient de déménager la marchandise.
Trois policiers du commissariat de Créteil comparaitront en juin devant le tribunal correctionnel pour avoir écrit un faux procès-verbal après l’interpellation chez lui d’un jeune homme soupçonné de trafic de drogue.
Dans le Val-de-Marne, c’est généralement par l’aéroport d’Orly que la cocaïne en provenance d’Amérique du sud transite, transportée dans l’estomac des passagers. Cette semaine, c’est un trafic par voie maritime, dont la destination finale était la ville de Thiais, qui a été démantelé, au terme d’une enquête démarrée par une banale affaire d’escroquerie au chômage…
De la cocaïne par kilos a été retrouvée dans des racines de manioc dans deux supermarchés d’Ile-de-France dont un Leclerc d’Orly (Val-de-Marne), a indiqué vendredi le parquet de Créteil sollicité par l’AFP, confirmant une information du Parisien.
Le portrait bleu et jaune d’une fillette ukrainienne qui s’affiche en grand sur une façade du 13e arrondissement de Paris est le “message universel” contre la guerre du street artiste engagé Christian Guémy, alias C215.
Alors que la préfecture de police a annoncé mardi un regroupement des usagers du crack, actuellement porte de la Villette, dans la zac Bercy Charenton à Paris 12, en bordure de Charenton-le-Pont, suscitant la bronca des élus de gauche comme de droite, le président du Val-de-Marne, Olivier Capitanio (LR), invite le gouvernement à renoncer à…
C’est par un communiqué envoyé ce mardi soir que les maires de Paris 12 et Charenton-le-Pont ont appris officiellement la décision de la préfecture de police de Paris de déménager les usagers du crack, évacués une première fois vers la porte de la Villette en septembre 2021, sur une emprise SNCF de la zac Bercy…
Provocation classique ou nouvelle menace sérieuse ? Les tags hostiles aux forces de l’ordre griffonnés sur les murs ou les halls d’immeubles ont refleuri sur les réseaux sociaux, dénoncés par le gouvernement et les syndicats de police, quitte à provoquer une “surenchère”.
Comment combattre une drogue qui se nourrit de la misère ? Face au crack qui gangrène Paris et sa proche banlieue, et aux colères des riverains, les autorités mènent une lutte compliquée contre des micro-réseaux composés d’acteurs précaires, adeptes de la débrouille.
Un total de cinq trafiquants de crack ont été condamnés vendredi à huit et dix ans de prison par le tribunal judiciaire de Bobigny, a annoncé samedi le procureur de Seine-Saint-Denis Éric Mathais.
L’édification d’un mur entre Paris et la Seine-Saint-Denis, qualifié de “mur de la honte”, a mis en lumière la consommation et le trafic de crack dans la capitale. Le point sur cette “drogue du pauvre” et l’intense difficulté à lutter contre ce fléau.
Le préfet de la région Ile-de-France, Marc Guillaume, et le préfet de police de Paris, Didier Lallement, ont justifié samedi dans un courrier à la maire de Paris, Anne Hidalgo, le déplacement des consommateurs de crack dans un lieu “temporaire”, en lisière de la capitale.
Ils ne veulent pas d’une “salle de shoot” à proximité de leurs crèches et écoles et le font savoir. Les riverains de la rue Pelleport (Paris 20) se sont rapidement mobilisés en apprenant la possible implantation d’un centre d’accueil pour usagers du crack dans un îlot riche en écoles.
Trois vendeurs d’héroïne, qui livraient cet opiacé très addictif à une clientèle “insérée” dans la société, à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), seront bientôt jugées par le tribunal de Créteil.