Des personnels et élèves du lycée Adolphe Chérioux de Vitry-sur-Seine, soutenus par la FCPE et le collectif associatif RESF, ont prévu de se rassembler ce mercredi 20 mars devant la préfecture, suite à l’ordonnance de quitter le territoire français (OQTF) dont fait l’objet une mère d’élève.
Les forces de l’ordre ont mis fin dans la nuit de mardi à mercredi à l’occupation de la place du Palais Royal dans le centre de Paris par quelque 450 migrants et des militants associatifs qui réclamaient une mise à l’abri, a constaté un journaliste de l’AFP.
Plus de 3 000 logements étudiants seront réquisitionnés en Ile-de-France lors des Jeux olympiques de Paris 2024 afin d’accueillir le personnel de l’événement. Les étudiants qui souhaitent rester à Paris l’été seront relogés ailleurs.
Le préfet de la Seine-Saint-Denis, Jacques Witkowski, a annoncé ce matin le début de l’évacuation de l’ancien siège de la société Unibéton, situé quai du Chatelier à l’Ile-Saint-Denis.
Au terme d’un long conflit avec la municipalité, la justice a ordonné l’expulsion de l’association MaMaMa, qui oeuvre contre la précarité infantile, des locaux qu’elle occupe à Saint-Denis. Mais elle a obtenu un délai d’un an pour se reloger.
Certains avaient vu toutes leurs demandes de régularisation rejetées et étaient invités à quitter le territoire. Le chantier des JO de Paris 2024 a tout changé, particulièrement scruté après les dénonciations des abus sur les chantiers qataris du Mondial de foot. Ce vendredi, une quinzaine d’ouvriers ont été régularisés, et n’ont pas boudé leur plaisir.
Alors que l’hiver approche, 300 jeunes migrants vivent sous les ponts Mandela à Ivry-sur-Seine. Ce mercredi, une manifestation était organisée devant la préfecture du Val-de-Marne pour réclamer un hébergement plus digne. Une délégation a été reçue. Reportage et explications.
Un campement comptant près d’un millier de migrants dans le quartier de la Chapelle a été évacué ce jeudi matin par les forces de l’ordre. Plusieurs centaines de personnes ont été mises à l’abri tandis que d’autres sont restées sur le carreau, regrettent les associations.
Une centaine de migrants ont été évacués par la police d’un immeuble de bureaux désaffectés du neuvième arrondissement de Paris ce mercredi matin, et six d’entre eux ont été interpellé.
D’une vie broyée en Afghanistan aux Hauts-de-Seine, où il travaille dans un entrepôt : Timor a vécu le pire et traversé l’Iran à pied pour arriver en France en 2017, son “nouveau chez-lui”, obligé de fuir bien avant la reprise du pouvoir en août 2021 des talibans.
L’expulsion d’une mère et ses trois enfants d’un logement social de la Semise, à Vitry-sur-Seine, a été suspendue après une mobilisation de la CNL (Confédération nationale du logement) et du DAL (Droit au logement).
Foulematou a reçu un récépissé de la préfecture du Val-de-Marne et attend maintenant son titre de séjour. Il y a moins d’un mois, cette accompagnatrice d’enfants en situation de handicap (AESH) de l’école des Hauts de Chennevières était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire, ne pouvant justifier d’un temps plein. La situation…
Pour Foulematou, auxiliaire d’élèves handicapés dans une école de Chennevières-sur-Marne, la régularisation de son titre de séjour est passée du parcours du combattant au cauchemar kafkaïen, entre l’impossibilité d’obtenir des rendez-vous en temps et en heure en préfecture et celle de justifier d’un nombre d’heures de travail suffisant en raison du statut actuel des AESH…
Voilà 11 ans que Foulematou, qui travaille actuellement comme accompagnante d’élèves handicapés (AESH) dans une école de Chennevières-sur-Marne, vit en France. Mais faute d’avoir un contrat à temps plein, elle n’a pas pu renouveler son titre de séjour et a reçu une obligation de quitter le territoire (OQTF). Une double peine dénonce la communauté éducative…