Anaïs avait 18 ans et vivait avec sa mère et son frère à Dunkerque. Elle adorait les chats et la musique. La nuit du 9 au 10 mai, son corps a été abandonné sur un trottoir de Pontault-Combault (photo) par un client du Plessis-Trévise qui venait de la tuer. Une destinée tragique et un parcours de…
© Stocklib / Artit Oubkaew “Honorons nos mortes, protégeons nos vivantes”: une soixantaine de militantes ont dressé dimanche à Paris un “mémorial” pour les victimes de féminicides, en collant sur un mur les prénoms de 111 femmes tuées en 2020.
Voilà quatre ans que les proches d’Aïssatou Sow, tuée à coups de pied portés à la tête par son petit ami dans leur appartement de Valenton, attendaient que justice soit rendue à la jeune femme de 21 ans. La cour d’assises du Val-de-Marne a condamné l’auteur de ce féminicide à 25 ans de réclusion.
Une jeune femme de 29 ans est morte vendredi soir dans son appartement de Champigny-sur-Marne, poignardée par son mari. Il s’agit du 67ème féminicide en France depuis le début de l’année 2020.
Ce jeudi 13 août aux premières heures du jour, une femme de trente ans est décédée poignardée par son mari, après avoir vainement tenté de fuir en se défenestrant du 1er étage.