Un an après l’installation des toxicomanes du crack, les maires d’Aubervilliers, Pantin et du 19ème arrondissement de Paris, ont à nouveau demandé à l’Etat de prendre ses responsabilités. Les habitants n’y croient plus.
Le maire de Pantin (Seine-Saint-Denis), Bertrand Ker,n a annoncé ce mercredi saisir la Défenseure des droits et invite les habitants à faire de même. Il dénonce la violation de la liberté de circulation causée par l’installation depuis un an d’un centaine de consommateurs de crack sur le square Forceval (Paris 19e).