Depuis lundi 9 novembre, les enseignants du collège Saint-Exupéry à Ormesson-sur-Marne exercent leur droit de retrait à propos des conditions sanitaires. Une situation préoccupante pour les parents d’élèves qui déplorent l’impact de cette déscolarisation sur les jeunes.
Du personnel pour nettoyer, des remplaçants en cas de prof absent, une organisation en demi-groupe pour limiter les concentrations d’élèves dans les établissements… Voilà quelques unes des revendications portées ce mardi 10 novembre par les groupes d’enseignants venus de différents départements franciliens pour manifester à proximité du ministère de l’Education nationale/.
Un mouvement de grève nationale enseignante est prévu ce mardi 10 novembre pour réclamer une nouvelle organisation préventive à l’épidémie de coronavirus. En Val-de-Marne, un premier rendez-vous est donné le matin avant une manifestation parisienne l’après-midi.
A Champigny-sur-Marne, les enseignants de Willy Ronis annoncent être à nouveau en grève ce lundi et appellent les parents à une opération collège mort ce mardi.
Alors que les professeurs de nombreux collèges et lycées avaient débrayé depuis la rentrée du 2 novembre pour exiger une application effective du protocole sanitaire renforcé, passant notamment par un enseignement présentiel en demi-groupe, les annonces de Jean-Michel Blanquer en ce sens ont calmé le jeu – au lycée.
L’organisation en demi-groupes a commencé ce mercredi dans plusieurs lycées en attendant un feu vert officiel. Les tensions perdurent ailleurs. Retour sur la mobilisation enseignante mais aussi des parents et des lycéens, et sur le calendrier du protocole sanitaire renforcé.
Au lycée professionnel Louise Michel de Nanterre, pas de blocus en vue par rapport aux mesures sanitaires préventives au coronavirus. Les élèves ont bien constaté la mis en œuvre du nouveau protocole sanitaire, même s’ils ne manquent pas d’en pointer les limites.
Les négociations entre la délégation syndicale FO et la direction Paris Est des laboratoires Biopath Unilabs ont finalement abouti ce vendredi 2 octobre, mettant fin à une grève qui avait démarré ce mardi 29 septembre.
Mise à jour 1er octobre : la grève se poursuit. “C’est ma première grève depuis 36 ans que je travaille mais cette fois c’en est trop!” témoigne Savana, déléguée FO des laboratoires Biopath Unilabs. Ce mardi, près de 200 salariés des laboratoires de l’Est parisien et de la plate-forme de traitement de Bry-sur-Marne se sont…
Marquée par les effets de la crise du Covid-19 sur les entreprises et l’emploi, la rentrée sociale commence ce 17 septembre par une manifestation parisienne et de nombreuses lignes de transport en grève.
Parents d’élèves, enseignants et élus continuent de batailler pour les classes à quelques jours du bouclage de la carte scolaire pour les établissements du premier degré du Val-de-Marne.
Alors qu’au moins 230 magasins de La Halle, dont une trentaine en Ile-de-France, ne devraient pas de trouver de repreneur dans le cadre de la reprise de l’enseigne actuellement en redressement judiciaire, l’intersyndicale menace de faire grève ce samedi pour réclamer une prime d’accompagnement au départ des salariés qui seront licenciés.
Le “Ségur” de la santé, c’est ainsi qu’Emmanuel Macron a qualifié ce vendredi, lors d’une visite dans un hôpital de l’AP-HP, la série de discussions qui doit s’engager au ministère de la Santé pour réorganiser et revaloriser la fonction hospitalière.
En grève depuis le début de l’année contre la réforme des retraites, les avocats du barreau du Val-de-Marne trouvent de nouvelles formes de mobilisation. Ils ont décidé de mener une action en faveur des justiciables les plus vulnérables : ceux qui se voient attribuer des avocats commis d’office.