La température pourrait descendre à -4° et -7° ces prochains jours. Toute la région a été placée en vigilance grand froid, neige et verglas et les préfectures ont activé le plan grand froid avec 120 places d’hébergement supplémentaire depuis lundi.
Environ 300 migrants occupaient dimanche après-midi une ancienne école maternelle du XVIe arrondissement de Paris pour réclamer leur mise à l’abri “du froid et de l’épidémie”. La ville leur a mis à disposition deux gymnases.
Le député européen Yannick Jadot était ce samedi au centre d’hébergement Emmaüs de Saint-Maurice. L’occasion pour lui de dénoncer “le décrochage social” et d’appeler à un RSA étendu aux jeunes.
Sébastien Lime, directeur de cabinet du préfet du Val-de-Marne depuis janvier 2018, s’apprête à passer le témoin pour devenir secrétaire général de la préfecture de l’Oise. C’est Sébastien Becoulet, en charge des questions relative à la ville et aux territoires dans les cabinets ministériels depuis 2017, qui lui succède.
Environ 3000 personnes ont été évacuées du campement de l’Ecluse, à Saint-Denis, ce mardi 17 novembre tôt dans la matinée, selon les chiffres de la préfecture. La veille au soir, sur place, les migrants installés depuis l’été, dans cette parcelle coincée entre l’autoroute l’A1 et le canal, étaient partagés entre espoir d’être relogé au chaud…
Vendredi, la préfecture du Val-de-Marne a réquisitionné des locaux dans quatre villes afin d’accueillir des sans-abris avant le retour des grands froids. Une mesure qui a suscité la colère du maire de Bry-sur-Marne, Charles Aslangul.
C’est l’une des mesures issues du Grenelle des violences conjugales il y a un an. L’hôpital Saint-Antoine (AP-HP) va expérimenter l’enregistrement de plaintes pour violences conjugales.
C’est dans l’un des nombreux pavillons tout en symétrie néoclassique des Hôpitaux de Saint-Maurice, vacant depuis plusieurs années suite à des réorganisations d’unités psychiatriques et en attente de travaux de réfection, qu’un centre pour patients sans abris, malades du coronavirus, a ouvert début avril, opéré par la Croix Rouge. Reportage.
Défaut de lieux d’isolement, pénurie de matériel de protection et promiscuité. Le cocktail pour une propagation optimale du Covid 19 est réuni dans les structures d’hébergement collectif (centres d’hébergement d’urgence, centres d’accueil de demandeurs d’asile, foyers de travailleurs migrants,…). En Val-de-Marne, services de l’État et autorités sanitaires viennent de lancer un dispositif pour limiter ce…
Un immeuble du Bois l’Abbé à Chennevières-sur-Marne a été évacué mercredi après la découverte de fragilités inquiétantes. Dix-sept occupants ont été hébergés pendant cinq jours dans un équipement municipal. Passée l’urgence, la question de leur relogement est désormais le problème numéro 1.
L’offre en hébergement d’urgence dans le Val-de-Marne, comme dans les autres départements de petite couronne, ne permet pas d’accueillir tous les sans-abris. Si le département dispose d’environ 15 000 places, ces structures sont à saturation et l’on estime la file d’attente à 1200 ménages. Parmi ces publics vulnérables se trouvent de plus en plus de…
La Préfecture du Val-de-Marne vient de prendre un arrêté portant réquisition du gymnase du Plateau, à Sucy-en-Brie. Le complexe sportif va ainsi pouvoir accueillir des demandeurs d’asiles jusqu’au 18 septembre.
Premières pierre de résidences à Ivry-sur-Seine, Nogent-sur-Marne, Champigny-sur-Marne, Orly, inauguration à Thiais, fin de la trêve hivernale, hébergement d’urgence, étude sur le logement des seniors dans le Grand Paris… Les dernières actualités du logement en Val-de-Marne.
Alors que la ville de Créteil dispose déjà de 864 places d’hébergement pour les demandeurs d’asile, plaçant la commune en tête dans l’ensemble de la région Ile-de-France (hors Paris), la réquisition préfectorale des bureaux du Parc Interdépartemental des Sports (PIDS) pour accueillir 70 migrants directement arrivés de la Porte de la Villette a suscité une…