Les présidents de plusieurs associations d’anciens combattants de Villejuif (ARAC, FNACA, UNC) ont cosigné une déclaration commune pour protester contre le déroulement de la cérémonie du 8 mai dernier, en mémoire de la capitulation du régime nazi en 1945.
Dans le cadre de la Quinzaine de la mémoire organisée dans la ville, Bonneuil-sur-Marne célèbre la journée nationale des mémoires de la traite, des esclavages et de leurs abolitions, ce dimanche 10 mai.
L’association Ensemble pour l’avenir propose un après-midi de débats ce vendredi 8 mai à partir de 14h, autour des massacres du 8 mai 1945 de Sétif et de Guelma, en Algérie.
Tout a commencé lors d’un cours sur les noms des rues d’Ivry-sur-Seine. Alors en CE2, Nicolas Bonnefoix répond fièrement à sa maîtresse que “Jean-René Bonnefoix est son arrière grand-père“.
Champigny-sur-Marne vote un voeu pour reconnaître les massacres du 8 mai 1945 en Algérie Champigny-sur-Marne a adopté, lors de son Conseil municipal du 6 mai, un vœu pour demander la reconnaissance par l’Etat et le président de la République des massacres du 8 mai 1945 à Sétif,
A l’occasion des 70 ans de la capitulation de l’Allemagne nazie face aux Alliés le 8 mai 1945, toutes les communes du Val-de-Marne organisent des cérémonies de commémorations. Informations pratiques ci-dessous :
Créée en 2004 par le sociologue M’Hamed Kaki, l’association Les Oranges, qui milite pour porter plus largement à connaissance certaines pages de l’histoire de l’immigration algérienne, vient d’essaimer dans le Val-de-Marne sous l’égide de Karim Fergani, formateur professionnel et habitant de Champigny-sur-Marne, parmi les acteurs de la seconde marche pour l’égalité.
Outre une série de conférences-témoignages, l’hôtel de ville de Saint-Mandé commémore jusqu’à ce dimanche 26 avril le génocide des Juifs d’Europe à travers une exposition de l’artiste et psychiatre strasbourgeoise Francine Mayran.
A l’occasion du 70ème anniversaire de la libération des camps de concentration, Fontenay-sous-Bois dévoilera deux nouvelles plaques pour rendre hommage aux Justes de la ville et aux déportés.
Deux survivants, Charles Baron, déporté en 1942, et Jeanne Allaire Kayigirwa, victime du génocide rwandais en 1994, ont témoigné devant une quarantaine de jeunes ce mardi 21 avril à Saint-Mandé, à l’invitation de la ville. Tous les deux ont été frappés par l’horreur à l’âge de 16 ans.
L’Institut national de l’audiovisuel (Ina) de Bry-sur-Marne sera pleinement mis à contribution dans le plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme dévoilé par le Premier ministre Manuel Valls à Créteil ce vendredi.
Stage de sport, cinéma, ateliers ludique, escapades… Villes, associations et lieux culturels et de loisirs rivalisent de propositions pour occuper les enfants.
En 1995, 6 000 à 8 000 Bosniens musulmans ont été massacrés à Srebrenica par des unités de l’armée de la République serbe de Bosnie. Vingt ans après, un groupe de jeunes choisyens iront tourner un film en Bosnie dans le cadre de la marche de la paix cet été.
Missionnaire catholique, Madeleine Delbrêl (1904-1964) s’est installée à Ivry-sur-Seine en 1933 pour prêcher la bonne parole au sein du monde ouvrier. Le Café citoyen de Charenton lui rend hommage ce soir avec la projection-débat de Ma ville est un songe, de Dominique Bertou.