Alors que l’AP-HP, qui a décidé cet été de passer de 4 à 3 centres de transplantation hépatique en Ile-de-France en transférant celui de Mondor à Brousse, a demandé aux doyens des facs de médecine des deux CHU de co-piloter un groupe de travail pour proposer un schéma qui fasse consensus, celui-ci est en train…
La coordination de vigilance pour l’hôpital Henri Mondor manifestait ce midi sous les fenêtres de la ministre de la Santé, Agnès Buzin, pour protester contre le projet de transfert à Paul Brousse de la transplantation hépatique.
Si du côté de l’hôpital Henri Mondor, personne ne souhaite voir partir la greffe hépatique à Paul Brousse, le projet dispose de défenseurs du côté de l’hôpital villejuifois. A commencer par Didier Samuel, chef de pôle au sein des hôpitaux universitaires Paris Sud et doyen de la faculté de médecine Paris Sud.
Président de la Commission de surveillance des hôpitaux universitaires Paris Sud et notamment de l’hôpital Paul Brousse, Jean-Luc Laurent indique partager les inquiétudes de son homologue de Mondor, Laurent Cathala, à propos du projet de transfert de la greffe hépatique.
Durant une heure et demie ce lundi 18 décembre, Martin Hirsch a reçu une délégation d’élus à propos du projet de transfert de greffe hépatique de l’hôpital Henri Mondor vers l’hôpital Paul Brousse. Un discours perçu de manière sensiblement différente en fonction des élus.
Après la motion de la Commission médicale d’établissement (l’instance de gouvernance médicale), votée à l’unanimité le 24 novembre, le Conseil de surveillance de l’hôpital Henri Mondor de Créteil
Pour l’heure, les deux députés LREM de la circonscription de Créteil n’ont pas encore pris position sur le projet de suppression de la chirurgie hépatique au CHU Henri Mondor de Créteil, mais ils prévoient de réagir de plusieurs façons.
Alors que Laurent Cathala, maire PS et ancien député de Créteil est président du Conseil de surveillance de l’hôpital Henri Mondor, sa parole sur le dossier de la chirurgie hépatique était très attendue. L’élu a choisi d’exprimer sa position dans un communiqué de ce jour qui apporte de nouveaux éléments concernant le schéma organisationnel qui…
Imaginés en 1914, en pleine mode du radium, les paratonnerres radioactifs ont eu le vent en poupe en France jusqu’à leur interdiction en 1987. L’IRSN (Institut de radioprotection et sûreté nucléaire) estime leur nombre à plus de 30 000 en France – 40 000 voire plus selon d’autres sources, fabriqués à partir de 1932.
Une salle d’attente qui ne désemplit pas et deux infirmières qui courent dans tous les sens. Trois jours après les attentats qui ont frappé Paris, la permanence de l’Établissement Français du Sang (EFS) installée à l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif fait face à une mobilisation sans précédent.