Depuis la rentrée, les quelques milliers de jeunes Ivryens qui mangent à la cantine suivent un nouveau rituel : le tri des déchets alimentaires à la fin du repas. Le succès du dispositif a convaincu la mairie d’expérimenter la collecte des détritus alimentaires à partir de mars 2018 dans le quartier Monmousseau-Vérollot .
Respirer mieux dans la région parisienne d’ici à 2020, l’enjeu est de taille, et cela valait bien un peu de temps supplémentaire pour donner son avis sur le nouveau Plan de protection de l’atmosphère. L’enquête publique a été prolongé jusqu’au 15 novembre. Déjà plus de 150 avis ont été déposés dont plusieurs de villes ou…
En marge de sa visite en chantier d’insertion au port de Bonneuil-sur-Marne, Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique, a été interrogé sur d’autres questions plus nationales comme le glyphosate.
Apprendre dès le plus jeune âge à faire le tri entre les restes de repas et les emballages, tel est l’objectif du territoire Paris Est Marne et Bois, désormais en charge de la gestion des déchets.
Après l’intense séance du Conseil municipal de ce mercredi, le Syctom (syndicat intercommunal des déchets) a voté la reconstruction de l’usine d’incinération d’Ivry, avec la voix du maire d’Ivry-sur-Seine. Zéro Waste France a répliqué immédiatement en menaçant d’un recours en justice.
Alors que le Comité syndical du Syctom (syndicat intercommunal en charge de la gestion des déchets) se réunissait ce 9 décembre avecà son ordre du jour le vote de la première tranche de travaux de reconstruction de l’usine d’incinération d’Ivry-Paris XIII, celui-ci a été reporté.
Si communistes et écologistes s’entendent sur pas mal de sujets au sein de la majorité municipale d’Ivry-sur-Seine, il est un dossier qui ne fait pas consensus, celui de reconstruction de l’incinérateur de déchets du Syctom (syndicat intercommunal en charge de la gestion des déchets).
Alors que le projet de nouvelle usine d’incinération d’Ivry-sur-Seine (Ivry-Paris XIII) n’a plus qu’une étape à franchir, celle de l’enquête publique, avant d’être définitivement validé, les opposants au projet viennent de lancer une pétition.
Ce mercredi 31 août, la Commission nationale du débat public (CNDP) a donné son feu vert pour que le projet de nouvelle usine d’incinération du Syctom d’Ivry-sur-Seine procède directement à l’enquête publique avant le lancement effectif du projet sans nouvelle concertation préalable via la CNDP.
Alors qu’une concertation a repris concernant le devenir de l’usine d’incinération d’Ivry-sur-Seine, dont l’opérateur, le Syctom (syndicat intercommunal de gestion des déchets) prévoit la reconstruction en intégrant une unité de valorisation organique (UVO) destinée à séparer la matière organique contenue dans les déchets ménagers pour traiter séparément les bio-déchets et fabriquer avec du compost et du biogaz (méthanisation),
Un plan B’OM, pour baisse des ordures ménagères, telle est la solution proposée le collectif 3R et les associations Zero Waste France et Arivem pour éviter la reconstruction d’une usine d’incinération à Ivry-sur-Seine (IP13) en remplacement de l’actuelle.
Alors que le Syctom (syndicat intercommunal de gestion des déchets de 84 villes de la région) a signé avec le groupement Sita (filiale de Suez Environnement) un marché portant sur un peu moins de 2 milliards d’euros pour la reconstruction de l’usine d’incinération d’Ivry-sur-Seine Paris XIII,
Le comité syndical du Syctom (syndicat intercommunal de gestion des déchets de 84 villes de la région) a choisi le 17 septembre de confier la reconstruction de l’usine d’incinération d’Ivry-sur-Seine (avec une capacité réduite de 730 000 tonnes à 350 000 tonnes par an) au groupement conduit par Sita (filiale de Suez environnement),