Plus vite, plus haut, plus fort. Telle est la devise lancée en 1891 par le père dominicain Henri Didon, proviseur d’un collège d’Arcueil, et grand ami de Pierre de Coubertin. Les JO l’ont fait sienne à Athènes, en 1896. Un clin d’œil local rappelé dans ses vœux par l’évêque de Créteil, Dominique Blanchet, ce mercredi…
Pour les Jeux Olympiques de Paris 2024, 15 000 militaires seront mobilisés en Île-de-France pour sécuriser l’évènement. Le Comité d’organisation et l’État craignent également de ne pas pouvoir réunir assez d’agents privés.
Ce mercredi, la mairie de Paris a annoncé le report de la zone à trafic limité (ZTL) à après les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Elle a pour objectif d’interdire la circulation de transit dans les quatre premiers arrondissements, et une partie des Vᵉ, VIᵉ et VIIᵉ arrondissements.
Surveiller les foules, neutraliser les drones malveillants… Déjà utilisés régulièrement ors de manifestations sportives ou sociétales, les drones vont largement investir le ciel lors des Jeux Olympiques de Paris 2024.
Dans une lettre ouverte au comité d’organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024 (Cojo), 75 associations* alertent sur les risques de “nettoyage social” des rues. Le collectif a projeté cette nuit un message lumineux, “le revers de la médaille“, sur le bâtiment du Cojo, à Saint-Denis.
Alors que des logements étudiants vont être réquisitionnés au profit de pompiers, soignants, forces de l’ordre et secouristes durant les Jeux Olympiques, ces derniers auront droit à 100 euros et deux places pour assister à des épreuves.
Entre l’Île-Saint-Denis et Saint-Denis, une partie de la Seine traverse le Village Olympique. Au cours des JO, il sera fermé et le trafic sera reporté sur un “bras secondaire“.
De la lutte contre le trafic de stupéfiants aux taxis clandestins ou à la protection des pistes, le parquet de Créteil souhaite anticiper “à 360 degrés” les actes de délinquance susceptibles de survenir à l’aéroport d’Orly lors des Jeux Olympiques de Paris 2024.
La justice en Seine-Saint-Denis n’est “pas aujourd’hui en état” d’absorber le surcroît d’activité lié aux jeux olympiques de Paris 2024, qui commence déjà à se faire sentir dans cette juridiction saturée, ont averti lundi ses chefs.
La Cour des Comptes pointe la sécurité et les transports comme “risques à circonscrire” pour les jeux olympiques de Paris 2024 et presse aussi le comité d’organisation (Cojo) d’accélérer la signature de certains contrats, dans un rapport que l’AFP a consulté avant sa publication.