Feu vert des députés pour la renationalisation du RSA en Seine-Saint-Denis Les députés ont acté la renationalisation de la gestion du RSA en Seine-Saint-Denis, sous forme d’expérimentation, à l’occasion de l’examen du premier volet du budget de l’Etat en 2022.
© cataliseur30 Cachan: passe d’armes polémique en conseil municipal et buzz national Demande d’explications du ministre de l’Intérieur, manifestation, pétition, mise en exergue sur Cnews… A Cachan, le clash sur l’armement létal de la police municipale lors du conseil du 30 septembre a pris des allures d’affaire d’Etat, au grand dam de la commune qui aimerait bien calmer le jeu. Rappel du contexte.
Mathilde Panot prend la présidence du groupe France Insoumise à l’Assemblée nationale Mathilde Panot, députée du Val-de-Marne, a pris la succession de Jean-Luc Mélenchon à la présidence du groupe France Insoumise à l’Assemblée nationale. A quelques mois de nouvelles législatives, la parlementaire entend encore intervenir dans le débat public.
© Charles Henry Départementales : la Seine-Saint-Denis reste à gauche Alors que le Val-de-Marne est passé à droite ce dimanche 27 juin, le seul département d’Ile-de-France resté à gauche est la Seine-Saint-Denis. Stéphane Troussel, le président sortant du conseil départemental, a annoncé la victoire de l’union de la gauche à 22h25. La gauche obtient 24 sièges sur 42.
© Arnaud Jaegers / Unsplashed Départementales en Seine-Saint-Denis: le suspens reste entier Qui de Stéphane Troussel, le président socialiste sortant, ou de Philippe Dallier, sénateur Les Républicains, dirigera le conseil départemental de la Seine-Saint-Denis après le 27 juin ? Le suspense demeure. Les cantons à suivre ce dimanche.
© Fb Cantines bio, mutuelle départementale, aide à l’achat de vélos, carte améthyste pour les jeunes handicapés, passe loisirs, droit de saisine par pétition du Conseil départemental… Christian Favier, candidat à un nouveau mandat à la tête du Val-de-Marne, a présenté ce jeudi son programme détaillé.
112 binômes de candidats se présentent aux élections départementales des 20 et 27 juin en Seine-Saint-Denis. La majorité de gauche sortante se présente partout et l’union de la droite également, sauf à Bagnolet. Le Rassemblement national est présent dans 15 cantons et le POID dans une dizaine. La représentation de la majorité présidentielle est plus…
Entre 3 et 8 binômes de candidats par canton se présentent aux élections départementales du Val-de-Marne les 20 et 27 juin, soit un total de 129 équipes pour 25 cantons, contre 139 en 2015. Détail des candidats par canton.
EELV Val-de-Marne vient de communiquer les investitures de ses candidats aux élections départementales des 20 et 27 juin dans 23 des 25 cantons du département. Seuls manquent à l’appel Champigny 2 et Choisy-le-Roi, hautement stratégiques pour la balance gauche-droite.
Mardi soir, les négociateurs de la France insoumise ont scellé un accord avec la plateforme Val-de-Marne en commun lancée par le président sortant du conseil départemental, Christian Favier (PCF) en vue des élections départementales des 20 et 27 juin.
Voilà une première étape concrète de l’union de la gauche en Val-de-Marne. Dans le canton de Saint-Maur 2, EELV, Génération.S, PCF, PS et LFI s’accordent pour soutenir un quadrinôme commun, soutenu également par Place publique et Nouvelle donne.
Dans un communiqué publié ce lundi, La France Insoumise Val-de-Marne invite à l’union des partis de gauche, hors PS, en incluant une composante non encartée et désigne ses chefs de file dans 9 premiers cantons en vue des élections départementales de juin 2021 en Val-de-Marne.
Nous sommes Alfortville, tel est le nom d’un nouveau collectif politique alfortvillais lancé pour promouvoir une candidature à gauche – mais non socialiste, aux élections départementales des 13 et 20 juin 2021. Une initiative dans le sillon d’Alfortville par nous-mêmes (qui était soutenu par LFI) aux municipales de 2020.
Quand une députée se fait traiter de poissonnière dans l’hémicycle Qualifiée de “poissonnière” mardi soir dans l’hémicycle par le député LREM Pierre Henriet, la députée LFI Mathilde Panot a obtenu mercredi soir des excuses de l’élu mais réclame “sanction” après cette “insulte sexiste”.