Le tribunal administratif de Montreuil a suspendu vendredi les arrêtés pris par douze villes du département de Seine-Saint-Denis mettant l’État en demeure d’appliquer un “plan d’urgence” pour l’éducation, arguant que ces mesures ne relevaient pas du pouvoir d’un maire.
Le nombre de villes en constat de carence de logements sociaux en Val-de-Marne a augmenté depuis la dernière révision triennale. Cette année, dix villes sont épinglées contre sept il y a trois ans. Les mesures qui accompagnent ces décisions sont aussi plus contraignantes, avec pour la première fois une reprise de l’instruction des permis de…
Fermer les commissariats de Charenton/Saint-Maurice et d’Alfortville la nuit, pour redéployer les effectifs sur celui de Maisons-Alfort afin de permettre de constituer des patrouilles de nuit… Ce projet de mutualisation a mis les maires en colère et le député Michel Herbillon relaie leurs inquiétudes auprès du ministre de l’Intérieur.
Alors qu’un projet de reconfiguration des commissariats de l’agglomération parisienne a été présenté aux syndicats policiers, qui ferait passer leur nombre de 17 à 9 en Val-de-Marne, l’Association des maires du Val-de-Marne, qui réunit tous les maires du département au-delà des clivages politiques, fait part de sa colère.
En colère contre la baisse des dotations de l’Etat, de nombreux maires du département prévoient de fermer au moins partiellement leur mairie ce samedi 19 septembre, à l’appel de l’AMF (Association des maires de France). Plusieurs prévoient également des rassemblements devant l’hôtel de ville dès 10 heures à
Le Val-de-Marne était bien représenté ce mercredi 17 juin au sein du rassemblement d’une cinquantaine de maires LR en colère organisé devant l’Assemblée nationale pour protester contre la politique du gouvernement et les lois en cours de vote.
A Villeneuve-le-Roi, la campagne de la municipalité pour “dire non aux ponctions de l’Etat, aux ponctions dans le budget de la ville et aux pertes des pouvoirs du maire” passe mal auprès de l’opposition.
Interpellés par Nous Citoyens 94, qui leur demandaient de réduire les dépenses de fonctionnement de 10%, les Maires en colère 94 se défendent dans un communiqué et mettent au défi le mouvement politique de centre-droit de mettre en pratique ses propositions.
Alors que le mouvement des maires en colères a manifesté la semaine dernière pour dénoncer notamment les baisses de dotations aux collectivités, Nous Citoyens 94, parti politique de centre-droit, les interpelle pour réclamer une baisse de 10% des dépenses de fonctionnement.
Plus d’une centaine d’élus en écharpe tricolore se-sont rassemblés devant l’entrée du salon des maires d’Ile-de-France, peu avant l’arrivée du Premier ministre Manuel Valls, pour témoigner de leurs griefs
Alors que s’ouvrent ce mardi 14 avril l’Assemblée générale et le salon de l’Association des maires d’Ile de France (Amif) au parc floral de Paris, dans le bois de Vincennes, le collectif J’aime ma ville, Maires en colère a prévu de manifester dès 10h30 devant l’Esplanade du Château de Vincennes,
Maire UMP de Villeneuve-le-Roi et candidat aux élections départementales les 22 et 29 mars, Didier Gonzales prend la tête des Maires en colère dans le Val de Marne, une initiative lancée par plusieurs élus UMP d’Ile de France contre la future métropole et ses conseils de territoire.