Insérer des personnes éloignées de l’emploi et recruter dans les métiers en tension, tel est l’enjeu du partenariat entre le chantier d’insertion des Restos du cœur d’Aubervilliers et les cantines de la ville.
Les forces de l’ordre ont mis fin dans la nuit de mardi à mercredi à l’occupation de la place du Palais Royal dans le centre de Paris par quelque 450 migrants et des militants associatifs qui réclamaient une mise à l’abri, a constaté un journaliste de l’AFP.
Six personnes ont été interpellées en Va-de-Marne et placées en garde à vue en début de semaine dernière dans le cadre d’un réseau d’immigration illégale via l’Autriche et la Hongrie. Cinq autres personnes, dont quatre Val-de-Marnais du même réseau, avaient déjà été arrêtées et condamnées dans ces pays.
Une maison d’accueil des LGBT+ les plus vulnérables, notamment les réfugiés, ouvrira mi-mai dans le Marais. Par ailleurs, un centre d’archives dédiées à l’histoire des minorités sexuelles verra le jour dans le 19ème arrondissement.
D’ici au mois de mars, les douches publiques rouvriront à Saint-Denis, à l’attention des personnes sans abri, mais aussi des mal logées. Une mesure demandée de longue date par les associations humanitaires.
Ce mardi à 18 heures, les tentes des jeunes migrants venus du pont Mandela s’alignaient encore en rang serré devant le Conseil d’Etat, dans les beaux quartiers parisiens. Une mise à l’abri a eu lieu en tout début de matinée ce mercredi après qu’ils soient repartis à Ivry.
Alors que 470 jeunes migrants sont désormais installés sous les ponts Mandela d’Ivry-sur-Seine, 200 d’entre eux sont allés poser leur tente devant le conseil d’Etat à Paris ce vendredi.
Plusieurs organisations d’aide aux migrants ont écrit lundi aux autorités pour demander la mise à disposition des places d’hébergement vacantes dans le centre d’accueil dédié aux Ukrainiens à Paris au bénéfice d’exilés sans-abri “d’autres nationalités”, dans un courrier consulté par l’AFP.
Alors que l’hiver approche, 300 jeunes migrants vivent sous les ponts Mandela à Ivry-sur-Seine. Ce mercredi, une manifestation était organisée devant la préfecture du Val-de-Marne pour réclamer un hébergement plus digne. Une délégation a été reçue. Reportage et explications.
Un campement comptant près d’un millier de migrants dans le quartier de la Chapelle a été évacué ce jeudi matin par les forces de l’ordre. Plusieurs centaines de personnes ont été mises à l’abri tandis que d’autres sont restées sur le carreau, regrettent les associations.
Les gymnases réquisitionnés pendant sept semaines à Arcueil, Cachan et Gentilly pour accueillir 150 migrantes et leurs enfants après l’évacuation d’un squat éclair à Gentilly, ont été restitués le jeudi 20 octobre. Mais le maire d’Arcueil dénonce un accompagnement insuffisant des familles.
“Ici, c’est gratuit, rapide et on peut téléphoner si on a la moindre question“. Tanguy, 20 ans, connaît bien les locaux du centre de santé sexuelle situé au sixième étage de l’Hôtel-Dieu, à un jet de la cathédrale Notre-Dame.
Une soixantaine de personnes, migrants et militants pro-migrants, ont forcé l’entrée de l’Hôtel de Ville de Paris vendredi après-midi pour réclamer un hébergement, reprochant à la mairie de “se défausser” sur l’Etat.
Au début des années 2010, ce-sont des dizaines et des dizaines de jeunes femmes nigérianes, mineures, qui se sont retrouvées exploitées sexuellement dans le bois de Vincennes.