Pantin: la police a évacué un campement de 500 migrants
Environ 500 migrants vivant dans un campement de fortune à Pantin (Seine-Saint-Denis) ont été évacués par la police ce matin dans le cadre d’une opération de mise à l’abri.
Accueil migrants
Environ 500 migrants vivant dans un campement de fortune à Pantin (Seine-Saint-Denis) ont été évacués par la police ce matin dans le cadre d’une opération de mise à l’abri.
La police a procédé mardi matin à l’évacuation d’un campement d’une centaine de jeunes migrants, dans le nord-est de Paris, ont indiqué la préfecture et l’association d’aide aux migrants Utopia 56, cette dernière affirmant que les personnes du campement sont des mineurs isolés.
Apprendre à coopérer et communiquer tout en jouant, tel est l’enjeu de l’expérimentation en cours au Centre d’Hébergement d’Urgence des familles migrantes (Chum) d’Ivry-sur-Seine, en lien avec l’association Play International. Reportage.
Plusieurs centaines de migrants, hommes, femmes et enfants, ont été évacués ce jeudi 3 mars, au petit matin, d’un campement de tentes installées dans le tunnel reliant Paris au Pré-Saint-Gervais, pour être mis à l’abri.
Un campement de 180 migrants a été évacué ce mercredi matin à Pantin, annonce la préfecture.
Près de 300 migrants ont été évacués de leur campement parisien du XIIe arrondissement mercredi matin, et conduits dans des centres d’hébergement d’urgence ou accueil de jour. Une opération a également été menée dans un squat de Saint-Ouen.
Alors qu’un centre d’hébergement désaffecté de la ville de Paris, situé à Thiais rue Baudemons, est occupé par des familles sans abri depuis trois mois, la ville de Thiais vient d’obtenir du Tribunal administratif de Melun un jugement ordonnant l’expulsion des lieux.
Depuis la mi-octobre à Thiais, une résidence sociale désaffectée appartenant à la ville de Paris a été investie par des familles de migrants, avec le soutien d’une association. La maire LR de la ville, Richard Dell’Agnola, vient d’écrire à nouveau à la maire de Paris pour la sommer d’intervenir.
Une semaine après l’occupation d’une résidence sociale désaffectée de la mairie de Paris par une association d’aide aux migrants, les riverains de ce quartier pavillonnaire de Thiais ne décolèrent pas et réclament l’évacuation, arguant de la vétusté du bâtiment. Pour l’heure, la cohabitation au quotidien reste néanmoins paisible dans la rue Beaudemons.
Alors que l’hiver approche, une centaine de migrants demandeurs d’asile ont investi une résidence sociale désaffectée de la ville de Paris située à Thiais, ce dimanche. La ville regrette ce squat. Les occupants promettent une cohabitation apaisée. Reportage.
Quatre jours après l’évacuation des consommateurs de crack de la rue Riquet vers un square de la place Auguste Baron (19ème arrdt de Paris), en lisière de la Porte de la Villette, d’Aubervilliers et de Pantin, les riverains font savoir leur ras-le-bol tandis que les élus locaux de tous bords fustigent cette décision. Reportage.
Quelque 200 manifestants marchaient à Paris vendredi après-midi pour dénoncer notamment un “piège d’état” lors de l’opération de mise à l’abri de migrants samedi dernier, à l’issue de laquelle plusieurs sans-papiers ont été placés en rétention par la police.
Les quelque 1 200 sans-abris, essentiellement des migrants, qui campaient depuis mercredi devant la préfecture d’Ile-de-France à Paris pour réclamer des solutions d’hébergement ont été évacués samedi au lever du jour.
Environ 500 sans-abri, essentiellement des migrants dont des Afghans et des familles avec enfants, ont installé des tentes mercredi à Paris, sous les fenêtre de la préfecture de la région Ile-de-France, afin de demander à l’État “des solutions d’hébergement dignes et pérennes”.