Un food-truck, un bus solidaire, des points de vente de paniers dans les quartiers politique de la ville ou encore un tiers-lieux pour du conseil diététique et culinaire… Dans le Val-de-Marne, le volet urgence sociale du plan de relance va financer plusieurs projets associatifs pour lutter contre la précarité alimentaire.
C’est par le thème de la sécurité que France 3 et France Bleu ont choisi d’ouvrir le débat qu’ils organisaient entre candidats aux élections départementales du Val-de-Marne ce mercredi 16 juin, tout en reconnaissant que cela ne relève qu’à la marge de la compétence des départements.
Des petits plats africains pas cher et du boulot, voilà, comme son nom l’indique, l’objet de l’association Taf et Maffé, créée en 2003 à Saint-Denis. En pleine crise sanitaire, l’association a diversifié son activité et va notamment mettre en place une épicerie solidaire. Portrait.
Il reste un mois et demi pour candidater à l’appel à projets du Fonds industrie du plan de relance. En Val-de-Marne, seulement une quarantaine d’entreprise ont soumis un dossier dont dix se sont partagées 5,6 millions d’euros.
Plus d’une quarantaine d’entrepreneurs ont participé ce mercredi 31 mars au premier 18-20 de la relance organisé en ligne par la préfecture du Val-de-Marne.
Alors que la zone de faible émission de l’agglomération parisienne, qui restreint l’accès aux véhicules les plus polluants, s’élargira aux Crit’Air 4 à partir du 1er juin 2021, et qu’une consultation publique est encore en cours jusque fin mars, l’Etat a annoncé mi-mars la possibilité d’un micro-crédit dans le cadre du plan de relance, pour…
Pour s’y retrouver dans les enveloppes du plan de relance, savoir à quoi postuler, quand et dans quelles conditions, et mieux faire connaître le dispositif, la sous-préfète à la relance du Val-de-Marne, Faouzia Fekiri, crée un rendez-vous de questions-réponses chaque mercredi en visio, de 18h à 20h.
A Nogent-sur-Marne, l’ouverture des commerces que le maire avait autorisés par un arrêté municipal, jugé illégal par la préfecture, n’a pas bien tourné pour tout le monde.
« Qui ici a une promesse d’embauche ? » Dans la salle de classe d’électricité du CFA (Centre de formation des apprentis) de Saint-Maur-des-Fossés, presque tous les élèves lèvent la main. Quelques-uns préparent un brevet de technicien supérieur (BTS), la plupart vont passer le bac professionnel. A l’échelle du Val-de-Marne néanmoins, la Direccte dénombre encore 500 apprentis sans…
Faire face aux conséquences économiques de la crise sanitaire et se préparer au rebond, voilà la priorité de la Chambre de commerce et d’industrie du Val-de-Marne, en 2021 comme en 2020.
Favoriser le lien direct entre paysans et des consommateurs grâce à des contrats sur l’année permettant aux exploitants d’avoir de la visibilité sur leurs revenus et de se concentrer sur la production, tel est l’enjeu des Amap (Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne). Mais en chamboulant leur organisation, le couvre-feu met aujourd’hui en péril…
Freiner la recrudescence du coronavirus dans le département en durcissant les restrictions sanitaires, accompagner la relance en allant chercher les financements, faire respecter la loi SRU… voilà quelques unes des priorités évoquées par la nouvelle préfète du Val-de-Marne, Sophie Thibault, qui a pris officiellement ses fonctions ce lundi 1er mars.
3,59 millions d’euros, tel est le montant de l’enveloppe dédiée à l’agriculture urbaine et les jardins partagés en Ile-de-France dans le cadre du plan de relance. Les dossiers peuvent être déposés par des associations, des collectivités territoriales ainsi que par des bailleurs sociaux, jusqu’au 31 décembre 2021.
Entreprises, collectivités locales, particuliers, associations… Il y en a pour presque tout le monde dans le plan de relance budgété à hauteur de 100 milliards d’euros au niveau national, à condition de cocher la bonne case au bon moment.