Foulematou a reçu un récépissé de la préfecture du Val-de-Marne et attend maintenant son titre de séjour. Il y a moins d’un mois, cette accompagnatrice d’enfants en situation de handicap (AESH) de l’école des Hauts de Chennevières était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire, ne pouvant justifier d’un temps plein. La situation…
Le niveau du Réveillon, la rivière qui traverse le Plateau briard, est passé sous le seuil de vigilance depuis mai, avec un débit inférieur à 0,037 mètres cubes par secondes à la station de Férolles-Attily (La Jonchère). Des restrictions d’eau sont en vigueur depuis le 10 juin.
Pour Foulematou, auxiliaire d’élèves handicapés dans une école de Chennevières-sur-Marne, la régularisation de son titre de séjour est passée du parcours du combattant au cauchemar kafkaïen, entre l’impossibilité d’obtenir des rendez-vous en temps et en heure en préfecture et celle de justifier d’un nombre d’heures de travail suffisant en raison du statut actuel des AESH…
Sortir par le haut de son combat perdu contre l’application de la loi sur le temps de travail des agents, qui impose la réalisation effective des 35 heures par semaine, tel est l’objectif du maire PCF de Bonneuil-sur-Marne, Denis Öztorun, qui a décidé de créer un nouveau droit au “bien être”. Explications.
Voilà plus de deux ans que Villejuif attend la dépollution de la gigantesque décharge toxique illégale qui s’est formée sur le fort de la Redoute. La municipalité s’apprête à faire un recours en justice contre l’Etat pour contester son inaction. La préfecture du Val-de-Marne répond avoir fait appel à un cabinet d’expertise pour déterminer la…
A quelques semaines des grandes vacances, les mairies croulent sous les demandes de création ou de renouvellement de cartes d’identité et de passeports. Dans le Val-de-Marne, un plan d’urgence prévoit l’installation de nouvelles stations d’enregistrement dans 9 villes.
Depuis près d’un an, l’ambiance se détériore chaque mois un peu plus au sein du conseil municipal de Villeneuve-Saint-Georges. Après avoir refusé de destituer la numéro deux de la ville lors du dernier conseil municipal, 20 élus de la majorité ont écrit à la préfète pour évoquer le “climat de peur” que générerait le directeur…
Selon les estimations de la préfecture du Val de Marne, le taux de participation au second tour de l’élection présidentielle 2022 dans le département s’élève à 55,2% ce dimanche 24 avril à 17h contre 57,59% au premier tour.
Depuis le second tour des élections régionales et départementales en Val-de-Marne fin juin 2021, le corps électoral a gagné 9732 inscrits supplémentaires soit une moyenne de 1,01% de progression moyenne par commune. Exception à Villeneuve-Saint-Georges.
La préfète du Val-de-Marne et le président du département ont signé le 17 mars une convention dédiée à l’identification des mineurs étrangers non accompagnés (MNA). L’association France terre d’asile accompagnera les jeunes dans ces évaluations tout en expliquant sa vigilance.
Depuis une semaine, la préfecture du Val-de-Marne a mis en place un parcours simplifié pour accueillir les réfugiés ukrainiens et leur donner des papiers temporaires ouvrant un certain nombre de droits. 200 adultes et une centaine d’enfants ont déjà été accueillis. Reportage.
C’est une petite fronde au sein du conseil municipal de Villeneuve-Saint-Georges. Pour défendre la candidature de 11 villes du territoire Grand Orly Seine Bièvre (GOSB) à l’encadrement des loyers, son président Michel Leprêtre avait convaincu le maire de Villeneuve-Saint-Georges, Philippe Gaudin, de rejoindre le groupe qui aurait donc compté 12 communes.
A peine ouvert ce mardi à 11 heures, le point d’accueil de jour situé au centre sportif Marie-Thérèse d’Eyquem de Créteil a vu défiler par dizaines les réfugiés d’Ukraine. Ce lieu, mis à disposition par la mairie et géré par la Croix-Rouge, permet notamment d’aider les familles dans leurs démarches administratives. Il doit monter en…
Depuis une semaine, environ 350 réfugiés ukrainiens ont été recensés par les services de l’Etat en Val-de-Marne. Si la plupart d’entre eux sont pris en charge dans des centres d’accueil d’urgence, certains sont hébergés chez des particuliers. Les collectivités s’attellent à coordonner le mouvement.