À l’abri derrière le “Black Wolf”, le blindé de 9 tonnes dernier cri du Raid, une colonne d’hommes en noir casqués et armés progresse lentement vers l’école de police de Draveil (Essonne), théâtre la semaine dernière d’une simulation d’attaque terroriste grandeur nature.
Ce dimanche après-midi à Vitry-sur-Seine, une opération de police de plusieurs heures a été nécessaire pour interpeller un homme d’une trentaine d’années retranché à son domicile.
A moins de quatre ans des Jeux olympiques 2024 de Paris, les organisateurs rehaussent le budget consacré à la sécurité, et l’Etat planche d’arrache-pied sur les dispositifs avec la sécurité privée qui est appelée à se renforcer et la reconnaissance faciale qui frappe à la porte.
Mardi 17 novembre puis samedi 21 novembre, plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Paris pour dénoncer la loi dite de Sécurité globale, à l’appel de syndicats de journalistes et d’organisations de défense des droits et des libertés comme la LDH, Amnesty International. Reportage.
Elèves confinés dans leur école, intervention du Raid… La tension est montée ce mardi à Ormesson-sur-Marne et Chennevières-sur-Marne, suite à un signalement d’arme et d’individus retranchés dans un pavillon de la rue du centre.
Un homme qui s’était retranché chez lui à Maisons-Alfort (Val-de-Marne) jeudi depuis le début de l’après-midi, menaçant “de tuer ses voisins”, s’est rendu peu après 15H00 au Raid qui avait été dépêché sur les lieux, a-t-on appris de source policière.
L’homme qui a retenu en otage un parent venu déposer son enfant au centre de loisirs de l’école Charles Perrault de Vitry sur Seine ce mardi 10 juillet au matin a finalement été interpellé en fin de matinée, après avoir relâché son otage.