Après un mois d’occupation illégale des terres agricoles du Triangle du Gonesse à Villiers-le-Bel, les “vieux campeurs” ont levé le camp, dressant un bilan “très positif” de leur action.
Réseau saturé, investissements tardifs et insuffisants, organisation dysfonctionnelle en raison de la double exploitation RATP- SNCF de certaines lignes, et, au final, une ponctualité qui n’est pas au rendez-vous. Voilà le constat dressé par la Cour des comptes qui alerte sur l’urgence de réagir si l’on veut inciter les habitants à prendre les transports en…
Alors que la ligne de RER B est la moins ponctuelle de la région. Les opérateurs de transports d’Île-de-France ont annoncé ce mardi une série de mesures d’urgence.
Quelques semaines après l’annonce d’augmentation de 2,20 euros par mois du passe Navigo en 2024, Île-de-France Mobilités (IDFM), a annoncé un “bouclier tarifaire” garantissant la modération, jusqu’en 2031, des hausses de tarif en dessous de 2 euros.
Prévue pour “fin mars-début avril 2024”, la future station du RER E Porte Maillot entre dans sa phase de finition. Devant le Palais des Congrès, l’entrée principale de la gare, d’immenses escaliers mécaniques flambant neufs sont installés.
À Villiers-le-Bel, pour dénoncer l’artificialisation des terres agricoles du Triangle de Gonesse, où doivent être bâties une gare et une cité scolaire, une quinzaine de “vieux campeurs” se sont munis de tentes et de chaises pliantes, et ont établi la ZIAC, leur “zone d’imagination pour un aménagement concerté“.
“Mauvaise nouvelle pour les usagers“, déplore Valérie Pécresse, présidente d’IDFM. Cumulant 13 mois de retard, le groupe Alstom ne pourra pas livrer les nouvelles rames du RER B fin 2025. Un “plan de rattrapage” sera présenté d’ici à un an.
L’année prochaine, le passe Navigo pourrait augmenter de 2,6%, portant son prix mensuel à environ 86,30€. Valérie Pécresse, présidente d’Île-de-France Mobilités (IDFM), avance une “contribution des usagers à hauteur de l’inflation“.
Critiquée de manière récurrente pour le niveau de pollution de l’air dans le métro, la RATP organisait ce 31 août une “journée pédagogique” à l’intention de la presse pour s’expliquer sur le sujet.
Ce jeudi, une série de dégradations volontaires ont perturbé, en Seine-et-Marne notamment, la ligne ferroviaire reliant Strasbourg à Paris. Selon la SNCF, l’une d’entre elles aurait pu causer un déraillement.
De janvier à juin, les contestations contre la réforme des retraites ont débouché sur 14 journées de grèves interprofessionnelles. Pour indemniser les usagers des transports en commun, Île-de-France Mobilités (IDFM) lance sa “campagne de dédommagement” ce 5 juillet.
Développer “7 000 m² de commerces et de services“, et améliorer “l’intermodalité et les correspondances avec le RER C et les lignes 5 et 10 du métro“, sont les prochains objectifs de la rénovation de la gare d’Austerlitz. Après cinq ans de travaux, la grande halle des voyageurs est restaurée.
Il va de nouveau manquer entre 0,5 et 1,5 milliard d’euros pour boucler le budget de fonctionnement des transports en Ile-de-France en 2024. Qui doit payer la rallonge ? Entre l’État et l’autorité régionale, le ton monte.
Alors que les travaux de prolongement jusqu’à Rosny-sous-Bois se font attendre, les habitants du Grand Paris Grand Est souffrent de l’insuffisance de desserte en transports en commun. Résolument mobilisés, les élus appellent à manifester le 11 juin prochain pour défendre le prolongement de la ligne.