Alors que les communes du Val-de-Marne se mobilisent ou pas pour accueillir des réfugiés, les habitants sont aussi partagés. Nombre d’entre eux se déclarent malgré tout prêts à ouvrir leur propre porte. Témoignages au Plessis-Trévise, à Boissy Saint-Léger, à Chennevières et à Champigny-sur-Marne.
Alors que 1000 réfugiés doivent arriver ces mercredi, jeudi et vendredi en France, l’heure est à la recherche tous azimuts d’hébergements d’urgence pour les accueillir.
Dans une déclaration publiée ce jour, l’évêque de Créteil, Mgr Michel Santier, appelle l’ensemble des paroisses du Val-de-Marne, des curés aux équipes d’animation et des communautés religieuses aux établissements d’enseignement catholique, à recenser les possibilités en matière d’accueil et d’hébergement
Alors que les villes du département ont commencé à se mobiliser pour accueillir des réfugiés, le Front National du Val-de-Marne se positionne absolument contre
De nombreuses villes du Val-de-Marne ont décidé d’accueillir des réfugiés, encouragées parfois par leurs habitants et au-delà des clivages politiques. D’autres ne le souhaitent pas. Le débat est en tout cas lancé partout. Enquête.