Cinq mois après le déclenchement de la grève des travailleurs sans-papiers de sous-traitants de l’agence Chronopost d’Alfortville, la mobilisation se poursuit pour obtenir des régularisations. Une manifestation de soutien est organisée ce jeudi après-midi à Vitry-sur-Seine.
Avec l’arrivée de l’automne, les chutes de températures et les épisodes de pluie, les grévistes sans papiers de sous-traitants de Chronopost ont bâché leur tente et s’emmitouflent tant bien que mal pour rester autour du piquet de grève malgré le froid. Narguant les intempéries, les banderoles et drapeaux continent de signaler l’occupation depuis les alentours.
Un collectif d’une trentaine d’associations* allant du Secours catholique à la Ligue des droits de l’Homme appelle à manifester ce mercredi 9 octobre à 15 heures pour protester contre l’obligation de prendre rendez-vous par Internet sans créneaux suffisants à accorder.
Les sous-traitants sans-papier de Chronopost Alfortville sont bien décidés à ne rien lâcher, en cette rentrée 2019. Ce vendredi, une cinquantaine de soutiens ont rallié le piquet de grève depuis la station Ecole Vétérinaire de Maisons-Alfort.
Après plus de deux mois d’occupation du site Chronopost d’Alfortville, les grévistes sans-papiers ont manifesté ce jeudi après-midi pour la première fois devant le siège parisien du géant de l’intérim, la société Derichebourg.
Quelques jours après une première rencontre avec un représentant de la Préfecture, les employés sans-papiers de sous-traitants de Chronopost Alfortville manifestent ce mardi à partir de 16 heures devant le siège de la filiale du groupe La Poste, à Paris.
Mardi matin, près de 200 manifestants ont occupé le parvis de l’hôtel de ville d’Alfortville alors que se déroulait une réunion au sujet des demandes de régularisation des employés sans-papiers de sous-traitants de Chronopost en présence d’un représentant de la préfecture, du député Luc Carvounas, du maire Michel Gerchinovitz et d’une délégation de travailleurs sans…
Le juge des référés du TGI de Créteil a ordonné ce mardi aux occupants du parking client de l’entrepôt Chronopost d’Alfortville de libérer les lieux. Cette décision n’entame pas le moral des manifestants qui vont poursuivre leur mobilisation devant le portail, sur la voie publique.
Assignés en référé par le groupe Chronopost pour l’occupation de l’agence d’Alfortville en soutien à la grève des sans papiers, les fédérations Sud PTT, Solidaires Val-de-Marne et CNT-SO étaient convoquées ce jeudi au tribunal de grande instance de Créteil. Mais devant la complexité des questions de droit soulevées, le juge a mis sa décision en…
L’occupation d’une partie de la cour de l’agence Chronopost d’Alfortville et du parvis extérieur par les travailleurs sans-papiers employés par des sous-traitants de l’opérateur postal se poursuit depuis maintenant huit jours. Ce jeudi, une audience est attendue au Tribunal de Créteil pour décider de leur évacuation. L’affaire s’est également judiciarisée sur un autre plan avec…
Au deuxième jour de la grève des travailleur sans-papiers de sous-traitants de Chronopost à Alfortville, une manifestation était organisée ce mercredi pour réclamer la régularisation des employés. La mobilisation a entre-temps reçu le soutien des élus locaux. Mardi soir, un journaliste et un militant se sont par ailleurs retrouvés une nuit en garde à vue.
Entre 20 et 30 travailleurs sans-papiers maliens, sénégalais ou encore guinéens, ainsi que des soutiens syndicaux occupent depuis ce mardi 11 juin l’agence Chronopost d’Alfortville pour réclamer les documents permettant leur régularisation alors qu’ils sont régulièrement recrutés en intérim par des sous-traitants de la filiale de La Poste.
Collectif associatif d’aide aux élèves sans-papiers et leur famille, RESF s’est vue diminuer soudainement le nombre de créneaux horaires dont elle disposait pour tenir sa permanence à la la Maison de la citoyenneté et de la vie associative (MCVA) depuis que s’est tenue, concomitamment, une AG de gilets jaunes le 17 février dernier.
Alors que la mobilisation s’amplifiait devant l’entreprise de nettoyage Seni de Gentilly, occupée depuis le 18 mars par plusieurs dizaines d’anciens salariés qui réclamaient des attestations d’emploi de leur ex-employeur pour pouvoir obtenir leur carte de séjour, une issue au conflit a été trouvée ce samedi et un protocole d’accord signé entre la CGT, l’entreprise…