Se remettre d’un échec au Bep ou Bac, en plongeant quelques dans la vie professionnelle pratique tout en se préparant à nouveau aux examens, tel est l’enjeu pour Chico, Anissa, Ludovic, Sarah, Naïm… ces 14 jeunes de 18 à 21 ans accueillis depuis novembre au sein des services du Conseil départemental du Val-de-Marne.
Drapeaux en berne et messages de solidarité n’ont pas tardé en Val-de-Marne, après l’attentat survenu ce jeudi 20 avril avenue des Champs Élysées, tuant un policier.
Ils ont quitté leurs pays en proie à la guerre et ou à la misère, traversant les montagnes, les mers et les frontières en quête d’une terre pour se reconstruire une vie. Depuis février, sept réfugiés, et bientôt une dizaine, originaires d’Afrique et du Moyen-Orient, ont trouvé refuge dans le couvent des Soeurs du sacré-coeur et de l’adoration…
L’Etablissement français du sang Ile-de-France a attribué ses coeurs à 92 collectivités franciliennes pour l’année 2016, et le Val-de-Marne n’est pas en reste.
Meubles, couverts, appareils ménagers, vêtements, chaussures, livres, vieux vinyles mais aussi matériaux de chantier… La nouvelle recyclerie La Pagaille, qui a ouvert ses portes rue Ernest Renan à Ivry-sur-Seine ce dimanche 5 mars, récupère tout pour le remettre dans le circuit. Ici, les mots d’ordre sont “débrouille, lutte et solidarité”.
Pour la troisième fois cette année, une dizaine de stagiaires de l’Ecole de la deuxième chance du Val-de-Marne et leurs formateurs sont partis à la rencontre des sans abris avec l’aide des bénévoles de la Relève de Coluche, jeune mouvement dont le but est de “redonner du sourire aux plus démunis”.
Le Conseil départemental du Val-de-Marne a voté ce lundi 6 février son budget 2017. 1, 437 milliards d’euros seront consacrées aux dépenses de fonctionnement, majoritairement consacrées à l’aide sociale (43%), la jeunesse et le sport (22%) et la culture (19%). 334,64 millions d’euros seront consacrés aux investissements, majoritairement consacrés aux voiries, collèges, subventions aux projets…
Voilà une opération réussie. Samedi dernier, le speed-dating organisé par Emmaüs solidarité, en charge de la gestion du centre d’hébergement d’urgence pour migrants d’Ivry-sur-Seine, et la commune, a permis de recruter 137 bénévoles qui viendront aider, sur des aspects variés, le fonctionnement quotidien du centre.
Des chevaux, des ânes, des moutons, des volailles, des poules, des lapins et des abeilles dans leur ruche… A Villeneuve-le-Roi, la ferme du parc des Meuniers offre un petit coin de nature et accueille plusieurs structures d’insertion sociale depuis une vingtaine d’années. C’est le cas de l’EDI (Espace dynamique d’insertion) qui accompagne des jeunes de 16 à 25 ans…
A l’occasion d’un point presse sur la question de l’accueil des demandeurs d’asile à Chevilly-Larue, le préfet du Val-de-Marne, Thierry Leleu, a annoncé ce mardi 31 janvier avoir accepté la proposition de la maire de la ville, Stéphanie Daumin (PCF), d’agrandir l’ex-gendarmerie qui accueille déjà 70 personnes afin qu’elle puisse en accueillir 80 supplémentaires
Mi-décembre, 200 habitants de Chevilly-Larue avaient manifesté aux côtés de leur maire, Stéphanie Daumin, contre la transformation d’un ancien foyer de jeunes travailleurs en Centre d’accueil de demandeurs d’asile (Cada), alors que la commune abrite déjà des réfugiés dans l’ancienne gendarmerie. Une solution alternative serait en passe d’aboutir.
Welcome, bienvenue… En guise de première initiative pour accompagner les migrants du centre d’accueil d’Ivry-sur-Seine, c’est une large banderole que les riverains ont concocté ce samedi matin, réunis à une trentaine de bon matin dans le cadre du collectif du Port à l’Anglais, à Vitry-sur-Seine.
3500 mises à l’abris par nuit, voilà le rythme soutenu de l’activité du SIAO (Service intégré d’accueil et d’orientation) du Val-de-Marne, un service de l’Etat géré localement par la Croix rouge, en cette période de grand froid. Un service entièrement intégré qui comprend aussi bien les maraudes sur le terrain et l’accueil des appels au 115,…
Cela commence par des coups de fil au 115, directement des personnes en quête d’un hébergement d’urgence ou de tiers qui signalent. Rien que lundi 16 janvier, il y a eu près de 5400 appels, dont 1300 ont été servis. A l’autre bout du téléphone, 150 salariés du Samu social se relaient pour répondre. Ce mardi soir, Bernard…