Alors que Saint-Maur-des-Fossés est la commune du Val-de-Marne qui paie l’amende la plus salée, 6,5 millions d’euros cette année, pour non-réalisation de ses objectifs de rattrapage en matière de logement social, l’allègement de la loi SRU promise par le Premier ministre réjouit. Lors du dernier conseil municipal, la commune a voté une motion pour réclamer…
“Exigeons ensemble et partout 25% de logements sociaux ! Le logement est un droit” Tel était le message d’une des dernières campagnes de communication de la CNL, association qui défend les locataires. Le tout illustré de photos de maires de villes ne respectant pas ce seuil, surmontées d’un bandeau “Wanted, hors la loi SRU!”. Un…
Si la loi SRU (Solidarité renouvellement urbain), qui oblige les villes à disposer de 25% de logements sociaux d’ici à 2025, a fêté ses 20 ans l’année dernière, le recours aux leviers les plus drastiques pour la faire appliquer s’est intensifié ces dernières années, particulièrement fin 2020, suscitant la colère des maires.
Alors que se tient ce mardi le Comité Régional de l’Habitat et de l’Hébergement (CRHH) qui arbitrera les villes qui feront l’objet d’un constat de carence en logements sociaux suite au non respects de leurs objectifs triennaux 2017-2019, la Fondation Abbé Pierre publie son palmarès. Il en ressort globalement une amélioration par rapport à la…
Retirer la compétence des maires d’accorder les permis de construire, c’est l’une des armes fatales dont disposent les préfets pour aider les villes en carence d’HLM à accélérer la cadence, mais jusqu’à présent, elle n’a jamais été utilisée dans le département.
Le maire LR de Saint-Maur-des-Fossés, Sylvain Berrios termine son mandat avec un geste symbolique en faveur du logement social. Il a signé ce mardi un contrat de mixité sociale avec le préfet du Val-de-Marne, Raymond Le Deun, par lequel il s’engage notamment à passer faire progresser les logements sociaux de moins de 9% à 12%…
Carencée et pénalisée par une amende annuelle de près de 110 000 euros, Périgny-sur-Yerres, la plus petite commune du Val-de-Marne (2668 habitants), vient de signer avec les services de l’État un contrat de mixité sociale qui fixe des obligations de production de logements sociaux pour les trois prochaines années.
Une Maison de la santé à Chevilly-Larue, rapport de la Cour des comptes sur la cantine de Fresnes, premières propositions pour le bduget participatif de Villecresnes, un nouveau pôle de logement social dans le quartier des Planètes à Maisons-Alfort, la zac des Cantoux officiellement créée à Ormesson-sur-Marne, Saint-Maur-des-Fossés prolonge sa piste cyclable en bord de…
Exit le projet de résidence sociale de 28 logements qui devaient être construits avenue de Grosbois, à Marolles-en-Brie. La ville a en revanche signé ce mercredi un contrat de mixité sociale avec le préfet.
Finies les sur-pénalités qui plombaient le budget du Plessis-Trévise pour non-respect du plan de rattrapage pour se mettre en conformité avec la loi SRU qui impose 25% de logements sociaux par ville.
Le nombre d’agréments de logements sociaux a bondi de 14% en Val-de-Marne en 2018. La moitié de ces 3131 nouveaux habitats se situent dans les communes déficitaires. Plusieurs communes carencées devraient ainsi voir leur amende supplémentaire levée, à l’instar d’Ormesson-sur-Marne ou du Plessis-Trévise. Saint-Maur-des-Fossés reste en revanche dans le rouge.
Parmi les huit villes qui risquent de faire l’objet d’un constat de carence en logement social d’ici la fin 2017, suite au non-respect de leur engagement triennal 2014-2017 pour rattraper leur retard, Le Perreux-sur-Marne défend sa bonne volonté et explique les retards de construction.
Sur l’urbanisme, deux engagements font l’unanimité parmi les candidats : celui de mettre en œuvre un PLU (Plan local d’urbanisme) en concertation avec les habitants et de préserver le patrimoine remarquable de la cité. Beaucoup de réserve dans l’ensemble sur la densification, préconisée par la région dans le cadre du SDRIF. On note toutefois des…
Conseiller en management de l’innovation et Nogentais depuis 5 ans, Laurent Dupuis –jusqu’alors sympathisant UDF- est entré en politique aux premières heures du Modem, en mai dernier. «Le déclic a été la bipolarisation du débat lors des présidentielles, tendant à éclipser les projets des autres candidats. Cela m’a choqué. Lorsque j’ai entendu François Bayrou faire…