Patrick Karam, vice-président du conseil régional d’Île-de-France en charge des sports, vient d’annoncer sa démission. L’élu de Paris considère que l’État, l’ARS Île-de-France et l’AP-HP sont défaillants dans la gestion de la crise sanitaire du coronavirus Covid 19. Il a déposé un recours en justice.
Suspendu de toutes ses activités le 20 novembre, dans le contexte du décès, en cours d’instruction de justice, d’un jeune adolescent venu pour une appendicite non opérée, le docteur Jamil Amhis a repris ses fonctions ce lundi 2 mars, a alerté un collectif d’usagers de l’hôpital hier.
A l’occasion des quinze ans de la loi handicap et de la Conférence nationale qui se tenait à l’Élysée ce mardi, une dizaine de parents et aidants de personnes en situation de handicap ont manifesté devant la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) de Créteil pour témoigner des difficultés qui persistent.
Alors que le Tribunal administratif de Melun a annulé les arrêtés anti-pesticides pris par les collectivités du Val-de-Marne en novembre 2019, plusieurs communes passent en appel à Paris ce mercredi 5 février.
A Villejuif, le transfert de la gestion du stationnement payant de l’Etat à la ville a suscité la polémique et le nouveau régime, voté lors d’un conseil municipal houleux, a fait l’objet d’un recours au tribunal administratif de la part de Philippe Vidal, élu d’opposition. L’affaire sera débattue ce vendredi au TA de Melun.
Soutenu par des collègues médecins, l’ex chef de service de la chirurgie pédiatrique du CHIC, Jamil Amhis, suspendu fin novembre dans le cadre de l’affaire du décès d’un jeune adolescent mort d’une péritonite après des heures d’attente et d’agonie, a fait appel de la décision auprès du Tribunal administratif de Melun qui examinait son cas…
Le Conseil d’Etat a confirmé la condamnation du territoire Paris Est Marne et Bois à payer 30 000 euros dans le cadre d’une affaire qui opposait initialement un citoyen et la communauté d’agglomération de Nogent- Le Perreux à propos du projet de refonte du marché de Nogent. Une longue histoire…
Après la prise d’arrêtés municipaux interdisant l’utilisation du glyphosate dans une quinzaine de collectivités du Val-de-Marne, le préfet Raymond Le Deun vient d’indiquer qu’il les avait soumis au contrôle de légalité des juges du tribunal administratif de Melun.
Dans la lignée des quatre maires du département qui ont pris des arrêtés anti-glyphosate, le président du Conseil départemental du Val-de-Marne, Christian Favier, vient de faire de même à l’échelle du département.
Attaqué par l’association politique locale Réussir pour Nogent, les modifications du PLU de Nogent-sur-Marne, votées en 2016, ont été partiellement annulées. Le territoire va faire appel.
Alors que l’arrêté anti-pesticide du maire de Langouët a été cassé par le Tribunal administratif de Rennes mardi 27 août, des dizaines de villes ont décidé de soutenir la commune bretonne en publiant à leur tour des arrêtés. Dans le Val-de-Marne, Arcueil et Cachan ont lancé l’offensive.
Les nouvelles implantations d’antennes relais et les ondes électromagnétiques qu’elles constituent régulièrement des conflits entre les riverains et les opérateurs téléphoniques. Manif, pétitions, recours juridiques et réunions passionnées se succèdent alors sans toujours trouver d’issue.
Quelques mois après que le Conseil d’Etat ait annulé la décision de la Cour d’appel de Paris de suspendre le contrat d’exploitation de la station d’épuration de Valenton par une société d’économie mixte administrée conjointement par Veolia (60%)