Depuis le mois de septembre, une soixantaine de réfugiés d’Ukraine sont accueillis au Carmel de Nogent-sur-Marne, sous l’égide de l’association Aurore. Certains rêvent de repartir retrouver leur famille, d’autres sont prêts à faire leur vie en France. Reportage.
Près de 320 Ukrainiens sont scolarisés dans les écoles, collèges et lycées du Val-de-Marne, dopant le nombre d’élèves allophones. Dans les classes spécialisées, moins fréquentées durant la pandémie en raison de la fermeture des frontières, cet afflux a fait bondir les effectifs. Les élèves, eux, commencent à prendre leurs marques. Reportage au collège Lucie-Aubrac de…
Pendant une semaine, ces adolescents ukrainiens prennent un peu de recul par rapport à la guerre, dans un centre PEP (Pupilles de l’enseignement public) de Mandres-Les-Roses. Une parenthèse d’insouciance avant de repartir dans leur pays retrouver leur famille. Reportage.
Plus de 300 jeunes migrants, qui se revendiquent mineurs, s’apprêtaient lundi soir à passer leur quatrième nuit dans des tentes devant le Conseil d’État, malgré le froid et dans l’espoir d’une mise à l’abri. Dix ont du être évacués pour hypothermie. La mairie d’Ivry a proposé un gymnase.
Plusieurs organisations d’aide aux migrants ont écrit lundi aux autorités pour demander la mise à disposition des places d’hébergement vacantes dans le centre d’accueil dédié aux Ukrainiens à Paris au bénéfice d’exilés sans-abri “d’autres nationalités”, dans un courrier consulté par l’AFP.
Le refus de laisser passer deux femmes russes qui voulaient visiter le château de Vincennes fin juillet a fait réagir le cabinet du ministre des Armées qui a regretté mardi un manque de “discernement” et assuré que les Russes étaient toujours autorisés sur ses sites touristiques.
Environ 500 migrants vivant dans un campement de fortune à Pantin (Seine-Saint-Denis) ont été évacués par la police ce matin dans le cadre d’une opération de mise à l’abri.