Alors qu’était adoptée ce jeudi 11 décembre au Sénat la résolution de reconnaissance de la Palestine déposée par le socialiste Gilbert Roger, deux sénateurs val de marnais,Christian Cambon (UMP) et Esther Benbassa (EELV) sont longuement intervenus, l’un contre, l’autre pour.
“La solution des deux États, nous la partageons tous. Comme beaucoup d’amis d’Israël, 
“La coexistence de deux États est la seule issue à des décennies de déni mutuel. 
Voir l’intégralité des débats qui se sont tenus sur cette question.
La résolution a été adoptée à 153 voix pour et 146 contre.
Dans le Val de Marne, les sénateurs UMP Christian Cambon et Catherine Procaccia ont voté contre, les sénateurs PCF Christian Favier et Laurence Cohen ainsi que la sénatrice EELV Esther Benbassa ont voté pour, le sénateur PS Luc Carvounas s’est abstenu.
Une résolution avait également été votée en ce sens à l’Assemblée nationale le 2 décembre, qui avait divisé les élus socialistes du département.
Dans un communiqué de ce vendredi 12, le maire PCF de Vitry-sur-Seine, Alain Audoubert, enjoint l’Elysée à tenir compte de ces deux votes. “François Hollande doit porter la voix du peuple de France sans temporisation, sans hésitation, sans ambigüité“, insiste l’élu dont la majorité municipale avait voté un voeu en ce sens en novembre dernier, à l’exception du maire-adjoint PRG Maurice Tzinman, lequel a remercié dans un courrier le député PS René Rouquet d’avoir voté contre cette résolution le 2 décembre.
oui mais l’argent il faudra bien le trouver
@david ,les habitants de ces communes vont d’abord apprécier en premier lieu ;pas d’augmentation des impôts locaux pour celles très endettées par l’UMPS ;baisse des impôts locaux pour les autres.Voilà un exemple à suivre par les communes UMPS et PC.
Les communes FN ne sont pas un exemple…
Histoire de mouche.
Nous étions, lui et moi, dans un café soudain, une mouche fit son apparition. Il suivit la mouche du regard et me demanda : “Que se passera-t-il si elle tombait dans une tasse de café ?” ” Je préfère ne pas y penser ” lui dis-je. ” Je vais te suggérer quelques réponses, insista-t-il, et tu me feras part de ton approbation ou de tes réserves… ” J’opinai du chef et le jeu commença.
– Si la mouche tombe dans la tasse d’un Italien, il la brise et sort furieux du bar.
J’approuvai.
– Si c’est un Allemand, il va demander une nouvelle tasse de café, stérilisée si possible.
J’approuvai encore.
– Si c’est un Français, il va sortir la mouche de la tasse et boire son café.
– Bien vu !
– Si c’est un Chinois, il va manger la mouche et jeter le café…
Je marquai ma réprobation en me taisant.
– Si c’est un Russe, poursuivit-il, il va boire le café avec la mouche, comme s’il bénéficiait d’un traitement de faveur.
Je ne pus m’empêcher de sourire.
– Si c’est un Israélien, il va vendre le café au Français, vendre la mouche au Chinois, vendre une nouvelle tasse à l’Italien, boire un thé et, avec tout ce qu’il a gagné, essayé de mettre au point un système pour éviter que ce genre d’incident ne se reproduise…
J’acquiesçai.
– Et si c’est un Palestinien, il accusera les Israéliens d’avoir laissé la mouche tomber dans son café, protestera à l’ONU contre cette agression, demandera une indemnité à l’Union européenne pour une nouvelle tasse de café, utilisera l’argent pour acheter des explosifs, puis fera sauter le restaurant où des Italiens, des Français, des Allemands, des Russes et des Chinois sont entrain d’expliquer aux Israéliens qu’ils devraient offrir leur tasse de thé aux Palestiniens.
Aucune mouche ne tomba dans nos cafés. Nous apprîmes, en revanche, que les socialistes français s’apprêtaient à reconnaître l’État palestinien.
Bravo !
Certain(e)s utilisent ce conflit dans des manœuvres pré-électorales peu reluisantes, quitte à monter les Français les uns contre les autres.
D’autres, comme vous, l’utilisent pour faire rire.
Merci.
La pêche aux voix pour les prochaines élections a commencé. Pour glaner quelques voix des “population-issues-de-l’immigration-maghrébine”, une sénatrice EELV aussi inconnue qu’irresponsable n’hésite pas à introduire ce conflit en France.
Elle s’est d’ailleurs fait huer la semaine dernière lors de la manifestation qui protestait contre les agressions antisémites de Créteil.
“Révalateurs” dans le bon sens, cher Eprard,entre une gestion UMPS et FN surtout au bout de 8 mois de mandature.Mon propos est d’opposer la mauvaise gestion de Cambon à celle des Maires FN.
Je ne parle pas du Maire, dont je ne connais pas la gestion de la ville. Mais du Sénateur.
Le conflit Israëlo / Palestinien est une véritable bombe à retardement.
Maintenant si faire la provocation, semble être la solution ?
La prudence s’impose, et désolé la positon de Mr Cambon edt plus pertinente, que celle de Mme Benbassa qui est toujours apte à proposer des lois hors du bon sens.
D’ailleurs la majorité politique ne partage pas vraiment son point de vue.
Concernant le FN, je ne vois pas çe qu’il vient faire ici ? Mais la gestion des villes par ce parti, nous aurons sans doute l’occasion d’en reparler. Les débuts de mandatures sont déjà assez révélateurs.
Eprard faire l’apologie de Cambon frise le ridicule. En 2012, le montant total des dettes dûes par la commune de Saint-Maurice était de :
1 013 000 €.
Si l’on rapporte cette dette au total des rentrées d’argent de votre commune (que l’on nomme produits de fonctionnement) et qui étaient de 17 836 000€ en 2012, alors cette dette représente : 5.68% de ses revenus annuels.
A Saint-Maurice, ce montant de la dette est en augmentation de 77.72 % par rapport à 2011.
Saint-Maurice continue donc de s’endetter.
Si l’on fait maintenant le calcul pour l’équipe municipale en place depuis 2008 :
A Saint-Maurice, la dette par habitant a augmenté de 27.27 % entre 2008 et 2012.
Pendant la même période, les communes françaises similaires à Saint-Maurice, ont vu leur dette par habitant augmenter de 12.49 % en moyenne entre 2008 et 2012.
Sous l’actuelle équipe municipale depuis 2008, la commune de Saint-Maurice a donc plus augmenté sa dette par habitant que les communes françaises similaires.(Source Proxiti)
Alors Monsieur Cambon qui veut donner son avis sur des alliances ferait bien de prendre sa retraite.Ilest loin d’etre un bon gestionnaire comme vont le prouver les municipalités FN.
Je pense que lire une critique de la dette de Saint-Maurice fera mourir de rire tous ceux qui s’y connaissent un tantinet. Le poids de la dette par habitant à Saint-Maurice est de … 57 euros. Elle peut bien avoir augmenter de 27% en 4 ans, elle n’en demeure pas moins quasi inexistante. La seule ville moins endettée que Saint-Maurice dans notre département, c’est Rungis. Chacun comprendra pourquoi. Quant au bilan de CAMBON, qui a justement désendetté considérablement Saint-Maurice, il se juge aussi aux résultats dans les urnes. 76,30% en mars 2014 après 25 ans de mandat.
Pour une petite commune 1.013.000 euros de dettes c’est “inexistant “nous apprécions votre formule !!
Un million d’euros : cela correspond, dans certaines communes, à la somme qu’il faut débourser pour un très beau pavillon ou pour deux 4 pièces. Sur un budget de fonctionnement annuel de 20 millions d’euros, c’est effectivement ridicule. Pour les villes comme Saint-Maurice, moins de 15 000 habitants, l’endettement est généralement supérieur à 1 000 euros par habitants. A rapprocher des 57 euros de dette pour Saint-Maurice évoqués précédemment… On peut faire dire n’importe quoi aux chiffres, mais on risque toujours d’être rattrapé par la réalité. J’ajoute, pour mettre un point final à cette polémique désopilante, que le taux des impôts locaux n’a pas augmenté à Saint-Maurice depuis 25 ans ! Il n’y a pas beaucoup de communes à pouvoir s’en vanter.
A Eprad: ton commentaire est nul, je ne connais ni cambon ni benbassa mais au vu des argumentations si il y à au moins deux personnes qui devraient retourner ds son potager c’est plutôt toi et ton ami cambon.. À bon entendeur…
Deux personnes bien différentes…
Autant M Cambon fait preuve de retenue, et de sagesse que Mme Benbassa toujours aussi peu connue, pour ne pas dire inconnue, continue dans les déclarations à sensations et sans reflexion… Vivement le jour, où elle quittera le Sénat, et qu’elle s’en retournera à cultiver son potager, si elle en a déjà eu l’occasion ?
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