Grands projets | | 25/03/2016
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Cité de la gastronomie : première réunion de travail du syndicat d’études

Cité de la gastronomie : première réunion de travail du syndicat d’études

Fin décembre 2015, le Conseil départemental du Val-de-Marne votait  à l’unanimité (assorti de mais) le principe de création d’un syndicat mixte d’étude ouvert pour avancer sur le projet de Cité de la gastronomie sur les terrains de l’actuel centre routier du MIN de Rungis, face au centre commercial régional de Belle-Epine. En attendant l’acte officiel de création par la préfecture,  une première réunion de travail a réuni ce jeudi 24 mars les membres de ce syndicat, à savoir le Val-de-Marne mais aussi les ville de Paris, Rungis, Chevilly-Larue, Orly et Thiais.

Le  Conseil régional d’Ile-de-France, devrait également rejoindre le syndicat et a déjà désigné une conseillère déléguée sur ce projet en la personne de Babeth de Rozières, chef restauratrice et animatrice d’émissions culinaires, conseillère régionale LR dans les Yvelines.

Au programme de cette première réunion: “faire le point sur l’état d’avancement du projet et les évolutions de son contexte, afin d’examiner un programme d’études destiné à l’élaboration d’un schéma d’aménagement de l’ensemble du quartier et à préciser les conditions économiques et opérationnelles de réalisation du projet“, détaille Christian Favier, président PCF du Conseil départemental. Parmi les enjeux cruciaux du projet : la viabilité de son modèle économique, étant entendu qu’aucune collectivité ne souhaite investir à fonds perdus dans un équipement qui vivoterait. L’un des premiers sujets à l’agenda sera donc de préciser le tour de table financier qui associera capital public et capitaux privés. Concrètement, seront associés au projet la Semmaris (société qui exploite le MIN de Rungis), la Société du Grand Paris (établissement d’Etat maître d’ouvrage du métro Grand Paris Express), la Chambre de Commerce et d’Industrie du Val de Marne et l’Etablissement Public d’Aménagement Orly-Rungis-Seine amont.  Au programme de la réunion également  : la préparation de la mise en place du Conseil scientifique, culturel et éducatif.

Objectif : être prêt pour 2024, avant les Jeux olympiques qui se dérouleront peut-être dans la capitale. Le décompte est lancé : il reste 8 ans.

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