Le préfet du Val-de-Marne a pris ce jeudi 19 mars un arrêté interdisant à compter du 21 mars, c’est à dire ce samedi, d’accéder aux bords de Marne, de l’Yerres, de la Seine, ainsi qu’aux espaces de loisir et des promenades de plans d’eaux, aux espaces boisés et forestiers.
Exit donc les balades en forêt Notre Dame et les joggings au bord de l’eau. Cette mesure vise à éviter au maximum les socialisations pour limiter la propagation du coronavirus Covid 19 déjà devenue critique, avec désormais 4 461 patients hospitalisés dont 1 122 sont en réanimation à l’échelle nationale, et un accroissement important des cas en Ile-de-France. Une manière d’éviter toute tentation pour ce premier weekend de printemps. La meure qui prend effet ce 21 mars est prévue jusqu’au 31 mars.
[ Info #COVID19 ] ℹ️ Par arrêté du préfet du Val-du-Marne en date du 19 mars 2020, l’accès aux parcs, jardins et forêt du #ValdeMarne sera interdit à compter du samedi 21 mars et jusqu’au mardi 31 mars inclus.
— Préfet du Val-de-Marne (@Prefet94) March 19, 2020
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Paris pourrait suivre
Cette mesure ne concerne en revanche que le Val-de-Marne, et donc pas le bois de Vincennes qui se situe à Paris. La préfecture et la ville de Paris ont toutefois menacé, dans un communiqué commun, de durcir également l’interdiction d’accès aux lieux publics parisiens, considérant que les consignes de confinement ne sont actuellement pas suffisamment respectées.
Le maire de Charenton demande l’interdiction d’accès au bois
(Mise à jour le 20 mars) Dans un courrier adressé ce vendredi au préfet de police de Paris, Didier Lallement, Hervé Gicquel, maire LR de Charenton-le-Pont, a demandé que ce qu’un arrêté similaire soit pris pour le bois de Vincennes. “Les images et témoignages que nous avons pu découvrir de visu, sur Internet comme dans les médias, du Bois de Vincennes bondé de flâneurs, n’a pas manqué de me choquer comme bon nombre de Charentonnais et d’y voir une situation plus que critiquable, voire des comportements irresponsables, dans le cadre des dispositions mises en place afin de limiter la propagation de l’épidémie de Covid-19”, motive le maire.
La maire de Paris et le préfet de Police appellent à la responsabilité et au civisme des Parisiens. pic.twitter.com/3YnxhRyKx6
— Préfecture de Police (@prefpolice) March 19, 2020
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65 millions de personnes peuvent mourir de faim, de solitude, de pollution, du glyphosate, de manque d’air, de manque d’argent…d’à peu près tout mais pas du covid-19 !
Les petits artisans peuvent perdre leur travail, les petits propriétaires leur loyers, … mais les banques ne peuvent pas suspendre les crédits !
On peut se rendre à son travail à pied, en vélo mais pas marcher ou faire du vélo.
Culpabilisations et injonctions absurdes et contradictoires sont notre menu quotidien par les médias aux ordres.
Le gvt ne dispose que de 2 touches de fonction : la COM et la police. Pour le reste RIEN.
Il n’a certainement pas été mis en place pour résoudre une crise sanitaire, ni quoique ce soit d’ailleurs mais pour mettre en place toutes les directives de Bruxelles et au delà si possible…Alors il continue de le faire envers et contre tout sans plus pouvoir s’arrêter dans sa logique folle…y compris et surtout la crise sanitaire du Covid-19.
https://www.youtube.com/watch?v=Y59ClxBNrT0
Click and see… No comment.
il me semble que tout ce beau monde doit avoir des domestiques.
Etes vous aller à carrefour, franprix, leadl, qui sont des lieux confinés et ou le virus doit être présent 24/7 ? Avez-vous mener des tests préventifs dans ces magasins ?
Avez-vous conscience que le métro et de nombreuses entreprises sont encore ouvertes (mais des lieux fermés) ? Avez-vous mener des tests dans ces lieux ?
Non, bien sûr. Le but n’est pas d’arrêter les lieux de propagations. Le but est de faire croire que l’on fait quelque chose, avec autoritarisme, et de mettre la faute sur la population pour masquer la responsabilité criante du gouvernement, qui n’a pris aucune mesure à temps (les medecins savent depuis fin 2019 le problème, …) et entend avant tout protéger l’économie.
On a le droit de travailler mais pas de sortir marcher. Et encore une fois, on nous fait le jeu des amendes. Nous demandons à ce que tout le revenu de ces amendes aille au moins au personnel de soin mal payé.
Et nous demandons à ce que ce gouvernement soit jugé à la fin de la periode, à la fois pour la mise en danger de la population qui lui avait confié temporairement la prise de décisions et à la fois pour ses tentatives répétées et continues d’établir un état autoritaire.
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